Une journée d’échanges pour préserver son intimité sur les réseaux sociaux
Par Anaelle EDOM
26/11/2015 - 22:56
• Mis à jour le 18/06/2019 - 15:28
Guadeloupe
De 8 heures à 13 heures, l'association FORCES a organisé une matinée d’échanges avec les lycéens. Les nouvelles technologies et l’intimité c’est la thématique qui a été abordée.
L’association FORCES a organisé, ce jeudi 26 novembre, une matinée
d’échanges avec les lycéens sur les nouvelles technologies. Cette
opération s’inscrivait dans le cadre de la journée internationale de
lutte contre les violences faites aux femmes.
Ces discussions ont permis de sensibiliser les lycéens sur les Nouvelles Technologie de l’Information et de la communication (NTIC). De nos jours, pour cette tranche d’âge l’usage des smartphones, des tablettes est incontournable. Snapchat, Twitter et Instagram font partie intégrante du quotidien de ces jeunes. Ils y livrent leurs photos et leurs vidéos.
A salle Laura Flessel, ce jeudi, il s’agissait donc de faire comprendre à ces jeunes que les réseaux sociaux relevaient de la sphère publique.
" Il faut communiquer avec les jeunes. (On doit également) trouver des outils pour qu’ils réalisent qu’il faut se fixer des limites et (avoir) des garde-fous parce que leur avenir en dépend", a indiqué Christiane Gaspard-Méride, la présidente de l’association FORCES ce jeudi sur les ondes de RCI Guadeloupe.
Ces discussions ont permis de sensibiliser les lycéens sur les Nouvelles Technologie de l’Information et de la communication (NTIC). De nos jours, pour cette tranche d’âge l’usage des smartphones, des tablettes est incontournable. Snapchat, Twitter et Instagram font partie intégrante du quotidien de ces jeunes. Ils y livrent leurs photos et leurs vidéos.
A salle Laura Flessel, ce jeudi, il s’agissait donc de faire comprendre à ces jeunes que les réseaux sociaux relevaient de la sphère publique.
" Il faut communiquer avec les jeunes. (On doit également) trouver des outils pour qu’ils réalisent qu’il faut se fixer des limites et (avoir) des garde-fous parce que leur avenir en dépend", a indiqué Christiane Gaspard-Méride, la présidente de l’association FORCES ce jeudi sur les ondes de RCI Guadeloupe.
