Un bateau secouru au large de la Désirade par le CROSS Antilles-Guyane
Par Anaelle EDOM
06/01/2016 - 17:00
• Mis à jour le 18/06/2019 - 15:26
Guadeloupe
Un peu plus de 10 jours après une première opération au sud-est de Marie-Galante, le CROSS Antilles-Guyane a porté secours à un nouveau bateau en détresse au large de la Désirade le samedi 2 janvier. C’est l’utilisation d’une balise de détresse qui a permis l’intervention rapide des secours. Les occupants n’ont donc pas passé la nuit en pleine mer.
Le samedi 2 janvier, le centre régional opérationnel de surveillance et de
sauvetage Antilles-Guyane reçoit un signal d’une balise de détresse,
enregistrée au nom du bateau de pêche Laolia.
La position, donnée par le satellite, situe le navire au Nord-Est de la Désirade. Les secouristes tentent alors de joindre le pécheur, sans succès. Après avoir obtenu la confirmation que le bateau est pourtant bien parti en pêche, le CROSS décide de demander l’appui de Dragon 971, l’hélicoptère de la sécurité civile. Il localise rapidement le bateau en détresse grâce à son dispositif de radio-ralliement.
Le navire était en avarie moteur avec deux personnes à bord. Il n’avait donc aucun moyen de rejoindre la côte. Avec les difficultés de communication en pleine mer, l’utilisation de la balise de détresse fonctionnant par satellite a véritablement facilité l’arrivée rapide des secours pour éviter tout drame.
Cette histoire est quasi-similaire au fait qui s’est produit le 22 décembre 2015, au large de Marie-Galante. Cette fois, c’est un bateau en panne d’essence que le CROSS a secouru grâce au déclanchement de cette fameuse balise.
Cet outil semble donc indispensable lorsque l’on part en mer. D’autant plus que les autorités rappellent qu’il est facile d’utilisation. La seule obligation est d’enregistrer sa balise auprès de l’ L'Agence nationale des fréquence (ANFR) et de tenir à jour les informations de contact.
La position, donnée par le satellite, situe le navire au Nord-Est de la Désirade. Les secouristes tentent alors de joindre le pécheur, sans succès. Après avoir obtenu la confirmation que le bateau est pourtant bien parti en pêche, le CROSS décide de demander l’appui de Dragon 971, l’hélicoptère de la sécurité civile. Il localise rapidement le bateau en détresse grâce à son dispositif de radio-ralliement.
Le navire était en avarie moteur avec deux personnes à bord. Il n’avait donc aucun moyen de rejoindre la côte. Avec les difficultés de communication en pleine mer, l’utilisation de la balise de détresse fonctionnant par satellite a véritablement facilité l’arrivée rapide des secours pour éviter tout drame.
Cette histoire est quasi-similaire au fait qui s’est produit le 22 décembre 2015, au large de Marie-Galante. Cette fois, c’est un bateau en panne d’essence que le CROSS a secouru grâce au déclanchement de cette fameuse balise.
Cet outil semble donc indispensable lorsque l’on part en mer. D’autant plus que les autorités rappellent qu’il est facile d’utilisation. La seule obligation est d’enregistrer sa balise auprès de l’ L'Agence nationale des fréquence (ANFR) et de tenir à jour les informations de contact.
√ Rejoignez notre Chaîne Whatsapp, RCI INFOS GUADELOUPE, pour ne rien rater de l’actualité : cliquez ici.