La BU ouvre de nouveau ses portes

Par 30/03/2016 - 17:00 • Mis à jour le 18/06/2019 - 15:22

La Bibliothèque Universitaire du campus de Schoelcher était fermée pour raisons de sécurité depuis le 7 mars 2016. Une fermeture qui était necéssaire afin d'effectuer correctement les travaux de déménagement des archives qui étaient stockées dans le vide sanitaire de la structure.

    La BU ouvre de nouveau ses portes
La Bibliothèque Universitaire du Campus de Schoelcher a de nouveau ouvert ses portes aujourd'hui mercredi 30 mars 2016 aux étudiants. 4094 cartons appartenant notamment à l’ancienne collectivité étaient entreprosés dans le vide sanitaire. Ils ne sont plus la, ils ont été stockés dans un autre batiment !

L’opération de déménagement qui a duré une semaine s’est plutôt bien passée, tout avait été mis en oeuvre afin que tout se déroule pour le mieux comme l'a confirmé Corinne Mencé Caster, la présidente de l’Université des Antilles. "Nous avons pu Aurelie Nella et Moi nous concerter en amont pour savoir quelle procédure et quel dispositif nous mettrions en oeuvre pour permettre une sécurisation juridique pour l'université qui pouvait éventuellement être accusée d'avoir perdu des cartons et pour la CTM qui elle aussi voulait savoir exactement ce qu'elle récupérait. Nous avons convenu de prendre chacun un huissier, et des personnes de confiance qui pouvaient numéroter, faire des photos de tous les cartons de façon à pouvoir procéder à un contrat contradictoire ensuite que les deux huissiers vérifient qu'ils ne restait plus aucun carton".

Les cartons ne sont donc plus dans le vide sanitaire de la BU mais la commission de sécurité avait également préconisé d’autres aménagements et installations pour assurer entièrement la sécurité du site et c’est toujours en cours. "Nous poursuivons la mise aux normes, l'enlèvement des cartons était la mesure la mesure la plus urgente et c'est celle que nous nous sommes attachés à mettre en oeuvre le plus rapidement possible pour ne pas pénaliser les étudiants", a complété la présidente.

Audrey Ollon et Sandrine Huillet