Les objets archéologiques, vestiges de notre passé
Par Karl LORAND
23/04/2015 - 13:52
• Mis à jour le 18/06/2019 - 15:36
Martinique
150 objets archéologiques en métal datant du 18ème siècle et découverts au Château Dubuc à Trinité seront restaurés en région parisienne. Ces vestiges de notre passé seront ensuite exposés.
Des objets rarissimes - témoins de notre histoire - vont être restaurés à
Paris avant une future exposition qui sera installée au château Dubuc à
Trinité.
Ces objets archéologiques en métal qui datent du 18e siècle ont également une grande valeur symbolique, parmi eux on retrouve par exemple des colliers d’esclaves. Ils avaient été retrouvés en 2012 lors de fouilles effectuées dans l’une des parties du Château Dubuc; à cette occasion près de 400 pièces avaient été déterrées. Une fois triées, 150 vont bénéficier d’un important travail de restauration en banlieue parisienne. "On est dans l'esprit de la valorisation, là c'est un projet de restauration, on va décaper toute une série d'objets qui sont extrêmement oxydés." a indiqué Fabrice Morio, directeur des affaires culturelles en Martinique.
Une fois prêts les objets reviendront en Martinique afin de composer une exposition qui devrait être installée d'ici deux ou trois ans.
Audrey Ollon et Yvonne Guilon
Ces objets archéologiques en métal qui datent du 18e siècle ont également une grande valeur symbolique, parmi eux on retrouve par exemple des colliers d’esclaves. Ils avaient été retrouvés en 2012 lors de fouilles effectuées dans l’une des parties du Château Dubuc; à cette occasion près de 400 pièces avaient été déterrées. Une fois triées, 150 vont bénéficier d’un important travail de restauration en banlieue parisienne. "On est dans l'esprit de la valorisation, là c'est un projet de restauration, on va décaper toute une série d'objets qui sont extrêmement oxydés." a indiqué Fabrice Morio, directeur des affaires culturelles en Martinique.
Une fois prêts les objets reviendront en Martinique afin de composer une exposition qui devrait être installée d'ici deux ou trois ans.
Audrey Ollon et Yvonne Guilon