L'employée de CAD'HOME stoppe sa grève de la faim
Par Mario GUIOLET
03/05/2015 - 12:40
• Mis à jour le 18/06/2019 - 15:36
Martinique
Annick Edgard aide à domicile a mis un terme à sa grève de la faim débutée,vendredi après-midi. Elle peut désormais compter sur le soutien du syndicat CSTM qui se saisit du dossier.
Installée sur une chaise devant le siège du Cad’Home avec une bouteille
d'eau et quelques effets, Annick Edgar reçoit la visite de collègues et
anonymes venus la soutenir dans sa démarche.
Employée de l'association d’aide à domicile CAD'HOME implantée à la cité Ozanam de Batelière à Schoelcher, Annick Edgar se dit victime d'une procédure de licenciement abusif. Pour contester, elle a symboliquement débuté une grève de la faim, le 1er mai, jour de la fête du travail. Cependant, après deux jours de mobilisation, elle a décidé de stopper sa grève de la faim après avoir été convaincu semble t-il par des représentants syndicaux affiliés la CSTM. Selon ces derniers, cette dame ne devrait pas mettre sa santé en péril.
Des représentants syndicaux qui ont décidé de se lancer aux côtés de la plaignante puisque selon nos informations, en début de semaine prochaine, une réunion pourrait avoir lieu entre l’avocate de la plaignante, des représentants de l’inspection du travail et le syndicat CSTM.
Les responsables de l’association CAD'HOME sont quant à eux injoignables depuis le début de cette affaire.
Employée de l'association d’aide à domicile CAD'HOME implantée à la cité Ozanam de Batelière à Schoelcher, Annick Edgar se dit victime d'une procédure de licenciement abusif. Pour contester, elle a symboliquement débuté une grève de la faim, le 1er mai, jour de la fête du travail. Cependant, après deux jours de mobilisation, elle a décidé de stopper sa grève de la faim après avoir été convaincu semble t-il par des représentants syndicaux affiliés la CSTM. Selon ces derniers, cette dame ne devrait pas mettre sa santé en péril.
Des représentants syndicaux qui ont décidé de se lancer aux côtés de la plaignante puisque selon nos informations, en début de semaine prochaine, une réunion pourrait avoir lieu entre l’avocate de la plaignante, des représentants de l’inspection du travail et le syndicat CSTM.
Les responsables de l’association CAD'HOME sont quant à eux injoignables depuis le début de cette affaire.