Cyclotron, la première phase du projet est l’installation du CIMGUA
Par Anaelle EDOM
25/06/2015 - 14:16
• Mis à jour le 18/06/2019 - 15:34
Guadeloupe
Passer les débats et les pétitions autour du cyclotron. La Guadeloupe entame la première étape du projet. Il s'agit de l'installation du Centre d’Imagerie Moléculaire.
Ne parlez plus de cyclotron, mais utilisez le sigle de CIMGUA pour Centre
d’Imagerie Moléculaire de la Guadeloupe. L’heure n’est plus à la pétition
ou aux débats politiques depuis l’annonce du Président de la République et
la récente mise au point de Marisol Touraine sur le sujet épineux du
cyclotron.
Il y a quelques semaine, interpellée par Jean-Philippe Nilor à l'Assemblée nationale, la Ministre des Affaires sociales, de la Santé et des Droits des femmes avait rappelé que la Guadeloupe et la Martinique auront chacune un TEP-Scan.
La Guadeloupe entame la première phase du projet, l’installation du Centre d’Imagerie Moléculaire. Un projet visé par le professeur Gilles Karcher, chef du service de médecine nucléaire de Nancy dans l’Hexagone. Il sera, mercredi 24, à 16h l’espace régional du Raizet pour une une réunion d'information. Cette rencontre permettra d'expliquer les enjeux de ce projet qui se veut innovant et adapté aux spécificités du territoire.
"Le projet est présenté sous toutes les formes. Les choix techniques et l’argumentation des choix qui ont été faits seront présentés", précise Julie Aristide. Cette violoniste du groupe soft fait partie de ceux qui ont porté le projet depuis le début.
Il y a quelques semaine, interpellée par Jean-Philippe Nilor à l'Assemblée nationale, la Ministre des Affaires sociales, de la Santé et des Droits des femmes avait rappelé que la Guadeloupe et la Martinique auront chacune un TEP-Scan.
La Guadeloupe entame la première phase du projet, l’installation du Centre d’Imagerie Moléculaire. Un projet visé par le professeur Gilles Karcher, chef du service de médecine nucléaire de Nancy dans l’Hexagone. Il sera, mercredi 24, à 16h l’espace régional du Raizet pour une une réunion d'information. Cette rencontre permettra d'expliquer les enjeux de ce projet qui se veut innovant et adapté aux spécificités du territoire.
"Le projet est présenté sous toutes les formes. Les choix techniques et l’argumentation des choix qui ont été faits seront présentés", précise Julie Aristide. Cette violoniste du groupe soft fait partie de ceux qui ont porté le projet depuis le début.