Inquiétude chez les chefs d'entreprises
Par Karl LORAND
26/06/2015 - 13:12
• Mis à jour le 18/06/2019 - 15:34
Martinique
Les chefs d'entreprises se sont réunis hier soir à l'occasion de l'Assemblée Générale de l'AMPI; les discussions ont principalement porté sur la refonte de l'octroi de mer.
L'Association Martiniquaise pour la Promotion de l'Industrie
a organisé hier soir son Assemblée Générale.
C'était pour l'occasion pour cette association qui regroupe 135
entreprises locales de faire un bilan des actions engagées et des
perspectives à venir.
C'était également l'occasion pour les chefs d'entreprises de partager leurs inquiétudes concernant la mise en place de certains dispositifs de l'Etat, notamment la refonte de l'octroi de mer.
"Ce qui nous préoccupe dans l'immédiat c'est l'octroi de mer ; la France a voté sa loi pour l'application du nouveau régime d'octroi de mer néanmois l'Europe est en train de revenir sur l'ensemble des aides d'Etat ce qui risque de conduire à la remise en cause de ces aides et l'octroi de mer principalement." a expliqué Hervé Toussay président de l'AMPI. Les chefs d'entreprises sont résolument tournés vers l'avenir; "Nos entreprises ont besoin de lancer des investissements, des programmes d'innovation et le concours de crédits publics est fortement nécéssaire" a t-il complété.
Audrey Ollon et Cédric Catan
C'était également l'occasion pour les chefs d'entreprises de partager leurs inquiétudes concernant la mise en place de certains dispositifs de l'Etat, notamment la refonte de l'octroi de mer.
"Ce qui nous préoccupe dans l'immédiat c'est l'octroi de mer ; la France a voté sa loi pour l'application du nouveau régime d'octroi de mer néanmois l'Europe est en train de revenir sur l'ensemble des aides d'Etat ce qui risque de conduire à la remise en cause de ces aides et l'octroi de mer principalement." a expliqué Hervé Toussay président de l'AMPI. Les chefs d'entreprises sont résolument tournés vers l'avenir; "Nos entreprises ont besoin de lancer des investissements, des programmes d'innovation et le concours de crédits publics est fortement nécéssaire" a t-il complété.
Audrey Ollon et Cédric Catan