Du rififi à la clinique Sainte-Marie !
Par Karl LORAND
21/07/2015 - 14:40
• Mis à jour le 18/06/2019 - 15:33
Martinique
Le personnel de la clinique Sainte-Marie a organisé une Assembée Générale ce lundi après-midi suite à l’appel de la CDMT. Le syndicat prévoit une mobilisation mercredi matin, pour l'heure on ne sait pas quelle forme prendra cette dernière.
Le syndicat CDMT dénonce le manque de transparence sur la situation
financière de la clinique Sainte-Marie qui appartient au groupe KAPA. Pour
rappel le groupe Kapa est propriétaire d’une dizaine de cliniques en
France dont deux en Guadeloupe et une en Guyane.
La CDMT parle de dégradation de la situation de la clinique et rappelle que kapa n’a jamais respecté ses engagements d’investissements massifs pour rénover l’établissement de Schoelcher. De son côté la direction parle au contraire de résultats qui se sont nettement améliorés depuis l’an dernier et affirme avoir fait plusieurs centaines de milliers d’euros d’investissement depuis le rachat de la clinique Sainte-Marie en 2006.
Lundi, les délégués de la CDMT sont allés demander des explications à la direction qui organisait elle-même une assemblée générale juste avant celle du syndicat, mais le dialogue reste difficile; il faut dire qu’il y a un fossé entre les constats des uns et des autres.
A présent, reste à savoir quelle forme prendra la mobilisation de mercredi.
Audrey Ollon et Béatrice Vandevoorde
La CDMT parle de dégradation de la situation de la clinique et rappelle que kapa n’a jamais respecté ses engagements d’investissements massifs pour rénover l’établissement de Schoelcher. De son côté la direction parle au contraire de résultats qui se sont nettement améliorés depuis l’an dernier et affirme avoir fait plusieurs centaines de milliers d’euros d’investissement depuis le rachat de la clinique Sainte-Marie en 2006.
Lundi, les délégués de la CDMT sont allés demander des explications à la direction qui organisait elle-même une assemblée générale juste avant celle du syndicat, mais le dialogue reste difficile; il faut dire qu’il y a un fossé entre les constats des uns et des autres.
A présent, reste à savoir quelle forme prendra la mobilisation de mercredi.
Audrey Ollon et Béatrice Vandevoorde