Danny est maintenant un ouragan de catégorie 2
Par Xavier CHEVALIER
21/08/2015 - 19:31
• Mis à jour le 18/06/2019 - 15:32
Martinique
L’ouragan Danny s’est renforcé, il est considéré comme un ouragan de catégorie 2. Les métrologues ont envoyé deux avions pour avoir plus de détails le concernant. La zone d’incertitude sur sa trajectoire se réduit. Il semble inévitable que l’arc Antillais soit impacté de plein fouet.
1 300 km à l’Est voilà où se trouve Danny. L’ouragan a profité de
conditions favorables pour se renforcer, lors du dernier point réalisé par
Météo France les vents moyens étaient de 170km/h avec des rafales à
200km/h. Il maintient son cap Ouest-Nord-Ouest à une vitesse de 17km/h.
Jean-Noël Desgrace est le patron de Météo-France en Martinique : « La trajectoire se maintient. C’est un ouragan très concentré, de petite taille donc c’est très difficile pour les prévisionnistes de prévoir les différents changements.
La Martinique va être relativement épargnée, Danny à de fortes chances de passer entre Antigua et les Îles du Nord, d’après nos prévisions, il va perdre en intensité entre samedi et dimanche.
La Guadeloupe sera relativement épargnée car si la trajectoire reste en l’état, elle sera dans la zone Sud et c’est à cet endroit où le phénomène est le moins fort.
Les mois d’août et septembre nous amènent un surplus de travail. Toutes les perturbations qui sortent de l’Afrique bénéficies de conditions favorables et s’intensifient. En ce moment, il y a deux autres perturbations que nous surveillons. »
Xavier Chevalier et Pascale Lavenaire
Jean-Noël Desgrace est le patron de Météo-France en Martinique : « La trajectoire se maintient. C’est un ouragan très concentré, de petite taille donc c’est très difficile pour les prévisionnistes de prévoir les différents changements.
La Martinique va être relativement épargnée, Danny à de fortes chances de passer entre Antigua et les Îles du Nord, d’après nos prévisions, il va perdre en intensité entre samedi et dimanche.
La Guadeloupe sera relativement épargnée car si la trajectoire reste en l’état, elle sera dans la zone Sud et c’est à cet endroit où le phénomène est le moins fort.
Les mois d’août et septembre nous amènent un surplus de travail. Toutes les perturbations qui sortent de l’Afrique bénéficies de conditions favorables et s’intensifient. En ce moment, il y a deux autres perturbations que nous surveillons. »
Xavier Chevalier et Pascale Lavenaire