Il sème le trouble à Fonds Sarail et écope d’un an de prison
Par Anaelle EDOM
15/09/2015 - 17:31
• Mis à jour le 18/06/2019 - 15:31
Guadeloupe
Interpellé la semaine dernière, Joël Barflan a été condamné, lundi 14 septembre, par le tribunal correctionnel pointois. L’homme circulait armé dans une résidence baie-mahaultienne.
Lundi au palais de justice de Pointe-à-Pitre, Joël Barflan 28 ans était
poursuivi pour cinq préventions. Il avait entre autres menacé de mort un
de ses voisins et exhibé son fusil en tirant des coups de feu en l’air.
Lors de l’audience l’homme s’est lancé dans une diatribe. Il a expliqué avoir eu plusieurs problèmes avec son voisinage. Mais face aux actes de celui que l’on appelait "le forcené", le procureur a souligné des faits largement caractérisés : menace de mort, violence sous la contrainte d’une arme. Il a également précisé que certes il n’y avait pas de "blessés physiques mais de nombreux blessés psychologiques".
Pourtant, hormis la partie civile personne n’a souhaité déposer plainte dans cette affaire.
Pour tenter d’alléger sa peine, son avocate a pointé que l’on n’avait jamais retrouvé l'arme du prévenu ."Seule, la peur des voisins est évoquée, il n’y a pas eu d’actes", a-t-elle poursuivi. Au terme du délibéré des trois magistrats, Joël Barflan a été condamné à un an de prison ferme.
Lors de l’audience l’homme s’est lancé dans une diatribe. Il a expliqué avoir eu plusieurs problèmes avec son voisinage. Mais face aux actes de celui que l’on appelait "le forcené", le procureur a souligné des faits largement caractérisés : menace de mort, violence sous la contrainte d’une arme. Il a également précisé que certes il n’y avait pas de "blessés physiques mais de nombreux blessés psychologiques".
Pourtant, hormis la partie civile personne n’a souhaité déposer plainte dans cette affaire.
Pour tenter d’alléger sa peine, son avocate a pointé que l’on n’avait jamais retrouvé l'arme du prévenu ."Seule, la peur des voisins est évoquée, il n’y a pas eu d’actes", a-t-elle poursuivi. Au terme du délibéré des trois magistrats, Joël Barflan a été condamné à un an de prison ferme.