Communiqué à l'ensemble de la presse
Par Géraldine Anelka
08/10/2015 - 21:28
• Mis à jour le 18/06/2019 - 15:30
Antilles
Suite à un communiqué émanant de l’institution régionale daté du 28 septembre 2015 et envoyé à la presse locale, la direction de RCI tient à porter les précisions suivantes :
À aucun moment dans l’interview incriminée, Eddy Planté, le présentateur
de « Sans Langue de Bois » n’a tenu les propos et les intentions que lui
prête ce communiqué, au contraire.
L’écoute du document peut en attester. La direction de RCI s’élève contre de telles accusations injustifiées et laisse aux auteurs dudit communiqué la responsabilité d’une polémique dangereuse et sans fondement.
La Direction de RCI
Abymes, le 05 octobre 2015
>>MISE À JOUR DE L'ARTICLE DATÉE DU 8 OCTOBRE 2015 :
Communiqué de presse - Basse-Terre, le 6 octobre 2015
Le président de région retire ses propos s’agissant des insinuations prêtées au présentateur de l’interview politique de RCI-Guadeloupe.
Le président de région Victorin LUREL prend acte du communiqué de la direction du groupe RCI daté du 5 octobre courant, lui-même consécutif à celui diffusé le 28 septembre 2015 aux médias locaux, dans lequel il exprimait sa surprise à l’écoute de l’interview politique de ce matin-là sur RCI-Guadeloupe. L’exécutif régional se réjouit des éclaircissements portés par la direction du média en question quant à l’insinuation prêtée à tort au présentateur de la dite émission qui, d’emblée, lui avait semblé choquante et qui tout le moins prêtait à confusion. Après réécoute de cet entretien et sur la foi du communiqué de la direction générale de Radio Caraïbe Internationale, le président de région admet une mauvaise interprétation des propos incriminés faisant référence à Bruno Blandin, le président du MEDEF et précise que le contexte lié aux dérapages de ces derniers jours sur des questions de races et d’origines, dont la presse s’est largement fait l’écho, allusion à l’affaire Morano et au procès Chaulet localement, justifiait que l’on soit très alerte sur ces questions. Par sa prise de position, l’exécutif régional se défend d’avoir voulu porter atteinte à RCI-Guadeloupe, ni singulièrement à la rédaction de ce média et encore moins au présentateur de la dite émission, mais souhaiter rappeler qu’il convenait d’être vigilant avec nous-mêmes, afin que des assertions à connotations raciales ou ethniques ne s’invitent dans les commentaires et autres interviews des médias locaux. Le président de région indique par conséquent qu’il retire totalement ses propos, tout en rappelant son attachement à la liberté de la presse autant qu’à l’importance du vivre ensemble dans notre archipel dont toutes les composantes contribuent à former le peuple de Guadeloupe.
LA DIRECTION DE LA COMMUNICATION
L’écoute du document peut en attester. La direction de RCI s’élève contre de telles accusations injustifiées et laisse aux auteurs dudit communiqué la responsabilité d’une polémique dangereuse et sans fondement.
La Direction de RCI
Abymes, le 05 octobre 2015
>>MISE À JOUR DE L'ARTICLE DATÉE DU 8 OCTOBRE 2015 :
Communiqué de presse - Basse-Terre, le 6 octobre 2015
Le président de région retire ses propos s’agissant des insinuations prêtées au présentateur de l’interview politique de RCI-Guadeloupe.
Le président de région Victorin LUREL prend acte du communiqué de la direction du groupe RCI daté du 5 octobre courant, lui-même consécutif à celui diffusé le 28 septembre 2015 aux médias locaux, dans lequel il exprimait sa surprise à l’écoute de l’interview politique de ce matin-là sur RCI-Guadeloupe. L’exécutif régional se réjouit des éclaircissements portés par la direction du média en question quant à l’insinuation prêtée à tort au présentateur de la dite émission qui, d’emblée, lui avait semblé choquante et qui tout le moins prêtait à confusion. Après réécoute de cet entretien et sur la foi du communiqué de la direction générale de Radio Caraïbe Internationale, le président de région admet une mauvaise interprétation des propos incriminés faisant référence à Bruno Blandin, le président du MEDEF et précise que le contexte lié aux dérapages de ces derniers jours sur des questions de races et d’origines, dont la presse s’est largement fait l’écho, allusion à l’affaire Morano et au procès Chaulet localement, justifiait que l’on soit très alerte sur ces questions. Par sa prise de position, l’exécutif régional se défend d’avoir voulu porter atteinte à RCI-Guadeloupe, ni singulièrement à la rédaction de ce média et encore moins au présentateur de la dite émission, mais souhaiter rappeler qu’il convenait d’être vigilant avec nous-mêmes, afin que des assertions à connotations raciales ou ethniques ne s’invitent dans les commentaires et autres interviews des médias locaux. Le président de région indique par conséquent qu’il retire totalement ses propos, tout en rappelant son attachement à la liberté de la presse autant qu’à l’importance du vivre ensemble dans notre archipel dont toutes les composantes contribuent à former le peuple de Guadeloupe.
LA DIRECTION DE LA COMMUNICATION