Attentats : Des prérogatives supplémentaires pour les policiers
Par Anaelle EDOM
20/11/2015 - 14:37
• Mis à jour le 18/06/2019 - 15:28
Guadeloupe
L’état d’urgence décrété, le mardi 17 novembre, dans les départements d’Outre-mer accorde l’extension du port d’arme aux policiers.
Le mardi 17 novembre, la ministre des Outre-mer, Georges Pau-Langevin
avait annoncé l’application de l’état d’urgence à la Guadeloupe, la
Martinique, Saint-Martin, Saint-Barthélemy, la Guyane et Mayotte. Les
policiers possèdent donc plus de prérogatives liées à leur fonction.
Ils ne seront plus dans l’obligation de ramener leur arme de service après 48 heures d’absence." Le fonctionnaire peut aller et venir avec son arme comme bon lui semble", a indiqué Christian Vainqueur, le secrétaire national de SGP-FO délégué en Outre-mer, ce vendredi 20 novembre, sur les ondes de RCI Guadeloupe.
Dans le cas des policiers municipaux, une disposition leur permet de porter une arme. C’est au maire d’en décider, a précisé Christian Vainqueur. Les syndicats se disent également satisfait de l’annonce de François Hollande à la tribune du Congrès le lundi 16 novembre 2015.
Le président considère que l’état de "guerre" passe par une augmentation des budgets et des effectifs des fonctionnaires et soldats placés en première ligne. Six mille policiers et douaniers supplémentaires ont donc été déployés.
Ils ne seront plus dans l’obligation de ramener leur arme de service après 48 heures d’absence." Le fonctionnaire peut aller et venir avec son arme comme bon lui semble", a indiqué Christian Vainqueur, le secrétaire national de SGP-FO délégué en Outre-mer, ce vendredi 20 novembre, sur les ondes de RCI Guadeloupe.
Dans le cas des policiers municipaux, une disposition leur permet de porter une arme. C’est au maire d’en décider, a précisé Christian Vainqueur. Les syndicats se disent également satisfait de l’annonce de François Hollande à la tribune du Congrès le lundi 16 novembre 2015.
Le président considère que l’état de "guerre" passe par une augmentation des budgets et des effectifs des fonctionnaires et soldats placés en première ligne. Six mille policiers et douaniers supplémentaires ont donc été déployés.