Harry Olivier sur l’eau, les déchets et les transports : "Il faut des organismes mixtes"
Par Anaelle EDOM
06/01/2016 - 22:27
• Mis à jour le 18/06/2019 - 15:26
Guadeloupe
Le collectif Citoyen Guadeloupe souhaite que le Guadeloupéen participe davantage dans la gestion de l’eau, des déchets ou du transport public. Il prône le principe des quatre quarts. Et à en croire Harry Olivier, membre du collectif pour une meilleure administration de ces organismes, les salariés, les acteurs socio-économique, les élus ainsi que les représentants de la clientèle devraient travailler ensemble.
Sur les ondes de RCI Guadeloupe le collectif Citoyen Guadeloupe a indiqué
vouloir intégrer le Guadeloupéen dans le fonctionnement et la gestion des
organismes gérant l’eau, les déchets ou encore les transports publics.
Replacer le citoyen au cœur de la vie de la cité à l’aide du principe des quatre quarts, tel est l’objectif du collectif." Les élus qui ont géré seuls tous ces domaines d’intervention ont échoués. Nous disons que l’on ne peut pas reconduire des équipes qui perdent. Cela vaut pour tous les organismes qui découlent des collectivités locales. Il faut des organismes mixtes", a indiqué Harry Olivier, membre du Collectif Citoyens Guadeloupe ce mercredi 6 janvier 2015.
L’ambition du collectif Citoyen Guadeloupe est donc simple. On doit retrouver dans la gestion de ces organismes d’intérêt public, 25% de salariés, 25% d’élus, 25% d’acteurs de la vie du pays et 25% de représentants de la clientèle.
Replacer le citoyen au cœur de la vie de la cité à l’aide du principe des quatre quarts, tel est l’objectif du collectif." Les élus qui ont géré seuls tous ces domaines d’intervention ont échoués. Nous disons que l’on ne peut pas reconduire des équipes qui perdent. Cela vaut pour tous les organismes qui découlent des collectivités locales. Il faut des organismes mixtes", a indiqué Harry Olivier, membre du Collectif Citoyens Guadeloupe ce mercredi 6 janvier 2015.
L’ambition du collectif Citoyen Guadeloupe est donc simple. On doit retrouver dans la gestion de ces organismes d’intérêt public, 25% de salariés, 25% d’élus, 25% d’acteurs de la vie du pays et 25% de représentants de la clientèle.