Des lunettes made in Gwada pour le marché antillais
Par Anaelle EDOM
05/02/2016 - 19:39
• Mis à jour le 18/06/2019 - 15:24
Guadeloupe
Etre au maximum en adéquation avec le marché antillais des lunettes. C'est le but de l'entreprise Essilor située aux Abymes. Elle a investi dans la modernisation de son laboratoire pour proposer des lunettes de plus en plus performantes et conçues en Guadeloupe.
Essilor Outre-mer Caraïbes, filiale N°1 Mondial de l'optique ophtalmique
vient d'investir 1M€ dans la modernisation de son laboratoire situé
derrière le stade des Abymes.
Ce bâtiment abrite désormais des technologies de pointe. Ces dernières permettront de fabriquer des verres de lunettes très travaillés. Un produit made in Gwada destiné au marché antillais.
Le grand gagnant de ces nouvelles installations, une fois n'est pas coutume, c'est le consommateur. Il pourra bénéficier de délais de livraison plus court. En outre, ces verres derniers cris lui reviendront à moins chers.
Selon Ludovic Mathieu, le directeur général d'Elissor France, cette production prend particulièrement en compte les facteurs économiques de notre archipel. C'est avec engouement qu'il en a parlé sur les ondes de RCI Guadeloupe ce vendredi 5 février 2016 :
" L'idée c'est de permettre de fabriquer en local les produits les plus innovants, les plus performants dans des conditions économiques qui permettent leur accès aux porteurs antillais" .
Pour 60% de la population antillaise porter des lunettes est une nécessité. Il faut dire que les besoins sont divers étant donné que les handicaps visuels sont variables. Ludovic Mathieu et ses équipes mettent donc un point d'honneur à développer des produits adaptés à notre environnement tropicale :
" On promeut sur le marché antillais les verres les plus protecteurs des UVs (...) On a développé des produits qui ont vocation à couper les ultraviolets au travers le verre. Ils protègent donc les yeux du porteur et préviennent d'une cataracte".
Et en matière d'évolution optique, Essilor Outre-mer Caraïbes n'a pas dit son dernier mot. En analysant, cette fois, les habitudes des Antillais, l'entreprise a eu l'idée de mettre sur le marché des lunettes connectés. Une évidence pour Ludovic Mathieu puisqu' "on sait qu'aux Antilles on utilise beaucoup plus les outils digitaux qu'en Métropole. C'est plus d'un téléphone par individu".
Ce bâtiment abrite désormais des technologies de pointe. Ces dernières permettront de fabriquer des verres de lunettes très travaillés. Un produit made in Gwada destiné au marché antillais.
Le grand gagnant de ces nouvelles installations, une fois n'est pas coutume, c'est le consommateur. Il pourra bénéficier de délais de livraison plus court. En outre, ces verres derniers cris lui reviendront à moins chers.
Selon Ludovic Mathieu, le directeur général d'Elissor France, cette production prend particulièrement en compte les facteurs économiques de notre archipel. C'est avec engouement qu'il en a parlé sur les ondes de RCI Guadeloupe ce vendredi 5 février 2016 :
" L'idée c'est de permettre de fabriquer en local les produits les plus innovants, les plus performants dans des conditions économiques qui permettent leur accès aux porteurs antillais" .
Pour 60% de la population antillaise porter des lunettes est une nécessité. Il faut dire que les besoins sont divers étant donné que les handicaps visuels sont variables. Ludovic Mathieu et ses équipes mettent donc un point d'honneur à développer des produits adaptés à notre environnement tropicale :
" On promeut sur le marché antillais les verres les plus protecteurs des UVs (...) On a développé des produits qui ont vocation à couper les ultraviolets au travers le verre. Ils protègent donc les yeux du porteur et préviennent d'une cataracte".
Et en matière d'évolution optique, Essilor Outre-mer Caraïbes n'a pas dit son dernier mot. En analysant, cette fois, les habitudes des Antillais, l'entreprise a eu l'idée de mettre sur le marché des lunettes connectés. Une évidence pour Ludovic Mathieu puisqu' "on sait qu'aux Antilles on utilise beaucoup plus les outils digitaux qu'en Métropole. C'est plus d'un téléphone par individu".