Les stocks de sang fragiles en Martinique
Par Stage
03/05/2016 - 17:00
• Mis à jour le 18/06/2019 - 15:21
Martinique
L’établissement Français du sang lance un appel à la mobilisation pour le don du sang en Martinique. Pour assurer les besoins des patients, les médecins ont besoin de sang tous les jours. Mais, en période des vacances, les stocks sont souvent en risque de pénurie.
L’établissement Français du sang (EFS) souligne l’importance de la
collecte de sang, cette semaine. En période de vacances, le nombre des
donneurs diminue et les stocks diminuent.
« Souvent malheureusement pendant les vacances scolaires on a une baisse des dons. C’est vrai que les stocks de sang sont un petit peu fragiles. On a surtout une difficulté à mobiliser les donneurs parce qu’il y a des vacances, parce qu’en plus, il y a un pont, le jeudi férié. On est obligé de lancer un appel parce qu’on a besoin de sang tous les jours et en particulier pour les plaquettes. On a vraiment besoin de tout le monde » , explique Pascale Richard, la directrice de l’EFS.
Les collectes sont organisées mardi 3 mai 2016, au centre commercial « Génipa », mercredi 4 mai 2016, à la Galléria, et vendredi 6 mai 2016, au Rond Point. Vous pouvez aussi vous rendre à la maison du don du sang à l’hôpital Pierre Zobda-Quitman, quartier la Meynard.
Veranika Chyhir et Sandrine Huillet
« Souvent malheureusement pendant les vacances scolaires on a une baisse des dons. C’est vrai que les stocks de sang sont un petit peu fragiles. On a surtout une difficulté à mobiliser les donneurs parce qu’il y a des vacances, parce qu’en plus, il y a un pont, le jeudi férié. On est obligé de lancer un appel parce qu’on a besoin de sang tous les jours et en particulier pour les plaquettes. On a vraiment besoin de tout le monde » , explique Pascale Richard, la directrice de l’EFS.
Les collectes sont organisées mardi 3 mai 2016, au centre commercial « Génipa », mercredi 4 mai 2016, à la Galléria, et vendredi 6 mai 2016, au Rond Point. Vous pouvez aussi vous rendre à la maison du don du sang à l’hôpital Pierre Zobda-Quitman, quartier la Meynard.
Veranika Chyhir et Sandrine Huillet