La Martinique souhaite intégrer le patrimoine mondial de l’UNESCO
Par Xavier CHEVALIER
11/05/2016 - 16:52
• Mis à jour le 18/06/2019 - 15:21
Martinique
La Martinique sera-t-elle un jour inscrite au patrimoine mondial de l’UNESCO ? Nos élus y travaillent depuis 2011. Un point sur l’avancé du dossier a été fait hier, mardi 10 mai 2016.
Mardi 10 mai 2016, à la CTM à Plateau Roy, différents élus ont présenté
l’avancement du dossier qui doit permettre à la Martinique d’être inscrite
au patrimoine Mondiale de l’UNESCO. Plusieurs autorités étaient présentes
comme des représentants de l’Etat, du président de l’exécutif Alfred Marie
Jeanne, et du directeur de la DEAL.
Le 19 avril dernier à Paris a été présenté le dossier de candidature avec un certain nombre de critères géologique, naturel avec sa biodiversité endémique et culturelle.
Les experts de l’UNESCO ont retenu ces critères le 4 mai dernier, avec une préférence pour le critère de la diversité biologique et endémique de notre île.
La prochaine étape est la validation de la déclaration de valeur universelle exceptionnelle le 11 octobre prochain devant le comité des biens français au patrimoine mondial.
Pour l’heure, le travail sur le terrain se poursuit. Des scientifiques, nationaux et locaux envisagent tous les scénarios possibles et pensent déjà à un périmètre pour protéger le ou les sites. Un périmètre centré sur la montagne Pelée et les Pitons du Carbet serait plus évident à gérer.
Le 19 avril dernier à Paris a été présenté le dossier de candidature avec un certain nombre de critères géologique, naturel avec sa biodiversité endémique et culturelle.
Les experts de l’UNESCO ont retenu ces critères le 4 mai dernier, avec une préférence pour le critère de la diversité biologique et endémique de notre île.
La prochaine étape est la validation de la déclaration de valeur universelle exceptionnelle le 11 octobre prochain devant le comité des biens français au patrimoine mondial.
Pour l’heure, le travail sur le terrain se poursuit. Des scientifiques, nationaux et locaux envisagent tous les scénarios possibles et pensent déjà à un périmètre pour protéger le ou les sites. Un périmètre centré sur la montagne Pelée et les Pitons du Carbet serait plus évident à gérer.