1,5 million d'euros pour améliorer la pédopsychiatrie en Martinique
Par Karl LORAND
01/06/2016 - 13:46
• Mis à jour le 18/06/2019 - 15:21
Martinique
La prise en charge des pathologies psychiatrique chez les enfants sera améliorée d'ici peu. Dix lits réservés à la pédopsychiatrie ouvriront au second semestre 2016 à l'hôpital de Mangot-Vulcin au Lamentin. Pour y arriver un investissement de 1,5 million d'euros a été nécessaire.
L’hôpital de Mango-vulcin étoffe son offre en matière de psychiatrie.
Diici le second semestre de l’année 2016, ce sont dix lits qui seront
ouverts à la psychiatrie infanto-juvenile. Cinq lits seront destinés à
l’hospitalisation à temps complet et les cinq autres pour des
hospitalisations ambulatoires.
Ces nouveaux lits répondent à un besoin pressant. En Martinique près de 3000 enfants et adolescents sont traités en pédopsychiatrie. Trois filières de soins existaient déjà : une filière ambulatoire en CMP (centre médico-psychologique), une filière adolescents et une filière autisme. "Il nous a semblé qu'il était important d'ouvrir ces dix lits de pédopsychiatrie qui était chez nous un maillon manquant au dispositif de santé mentale", indique Jacques Vestrisse, directeur adjoint de l’offre de soin à l’ARS.
"Il manquait un lieu pour une hospitalisation spécifique qui puisse permettre de s'occuper des situations dans lesquelles les jeunes puissent être encadrer dans un temps assez long par des équipes spécialisées", approuve le docteur Nancy Pascal-Clodion, chef du pôle pédopsychiatrique
L’investissement sera de 1.5 million d’euros, alloué au budget de l’hôpital.
Karl Lorand et Cédric Catan
Ces nouveaux lits répondent à un besoin pressant. En Martinique près de 3000 enfants et adolescents sont traités en pédopsychiatrie. Trois filières de soins existaient déjà : une filière ambulatoire en CMP (centre médico-psychologique), une filière adolescents et une filière autisme. "Il nous a semblé qu'il était important d'ouvrir ces dix lits de pédopsychiatrie qui était chez nous un maillon manquant au dispositif de santé mentale", indique Jacques Vestrisse, directeur adjoint de l’offre de soin à l’ARS.
"Il manquait un lieu pour une hospitalisation spécifique qui puisse permettre de s'occuper des situations dans lesquelles les jeunes puissent être encadrer dans un temps assez long par des équipes spécialisées", approuve le docteur Nancy Pascal-Clodion, chef du pôle pédopsychiatrique
L’investissement sera de 1.5 million d’euros, alloué au budget de l’hôpital.
Karl Lorand et Cédric Catan