La Gran Riviè an mouvman
Par Karl LORAND
20/08/2016 - 17:32
• Mis à jour le 18/06/2019 - 15:20
Martinique
Pour la cinquième année consécutive, l'association Mèl Makrel met Gran Riviè en fête. Deux jours de manifestions sont prévus autour et dans le lit au bassin des Hommes de la rivière de l'extrême nord de la Martinique. Cette année c'est la noix de coco qui est mise à l'honneur.
L’association Mel Markel propose un retour aux sources, avec son
événement « La Riviè Gran Riviè en Mouvman ». Pour la 5ème édition, la
noix de coco sera mise à l’honneur.
Samedi (20 août 2016), les festivités seront accès autour des activités nautiques. Au programme de la journée de dimanche : Chasse aux trésors grandeur nature dans la rivière, massages à l’huile de coco, initiation au tambour bélé ou encore à la danse brésilienne.
Chaque année, l’événement attire beaucoup de monde. Plus de 1500 personnes se sont rendues aux éditions précédentes. Cette manifestation labellisée Cap Nord permet ainsi valoriser le territoire nord. Pour l’association, il s’agit de remettre au gout du jour la rivière, bien souvent délaissé du grand public. "Autrefois les familles antillaises se retrouvaient autour de la rivière pour festoyer, pour laver le linge, pour cultiver. En fait c'est un peu un retour aux sources. La pollution de la bilharzie dans les rivières avaient conduit les familles à délaisser ces sites naturels", raconte Aurélie Carbety, chargé de communication de l’association Mel Makrel.
Karl Lorand et Olivia Lebrun
Samedi (20 août 2016), les festivités seront accès autour des activités nautiques. Au programme de la journée de dimanche : Chasse aux trésors grandeur nature dans la rivière, massages à l’huile de coco, initiation au tambour bélé ou encore à la danse brésilienne.
Chaque année, l’événement attire beaucoup de monde. Plus de 1500 personnes se sont rendues aux éditions précédentes. Cette manifestation labellisée Cap Nord permet ainsi valoriser le territoire nord. Pour l’association, il s’agit de remettre au gout du jour la rivière, bien souvent délaissé du grand public. "Autrefois les familles antillaises se retrouvaient autour de la rivière pour festoyer, pour laver le linge, pour cultiver. En fait c'est un peu un retour aux sources. La pollution de la bilharzie dans les rivières avaient conduit les familles à délaisser ces sites naturels", raconte Aurélie Carbety, chargé de communication de l’association Mel Makrel.
Karl Lorand et Olivia Lebrun