Rush des vacances : l’aéroport de Martinique active son dispositif de forte affluence
Pendant le chassé-croisé des grandes vacances, près de 7 000 passagers sont attendus chaque jour à l’aéroport Aimé Césaire, qui a activé son dispositif forte affluence.
Nous entrons dans une période de croisement touristique. Il y a ceux qui viennent en Martinique et ceux qui quittent l’île pour les vacances. C’est le fameux chassé-croisé de juillet-août.
L’aéroport Aimé Césaire risque d’être encombrée dans les jours prochains voire les prochaines semaines. Les deux journées de pic sont prévues les 19 et 26 août.
En moyenne, l’aéroport devrait accueillir 7 000 passagers/jour, soit environ 200 000 passagers par mois.
La Société Aéroport Martinique Aimé Césaire (Samac) a donc activé son dispositif de forte affluence.
Valérie Césarine, directrice marketing et commerciale de la Samac, précise que tout a été mis en œuvre pour juguler les forts flux de passagers.
Nos équipes sont fin prêtes pour accueillir l’ensemble des passagers de l’ensemble des transporteurs qui proposent des dessertes entre la Martinique et les différents points de leurs hubs.
L’objectif étant qu’il n’y ait ni longue file d’attente, ni retards des rotations, comme l'explique la directrice marketing et commerciale de la Samac.
Nous concourons tous à l’atteinte de cet objectif, nous exploitant aéroportuaire, les compagnies aériennes et bien sûr les passagers. En faisant preuve d’anticipation et de civilité. Nous attendons de l’ensemble de nos collaborateurs – Samac et des compagnies aérienne – que les process soient suivis et mis en œuvre avec les passagers dans le plus grand respect de chacun afin que chacune des étapes passagers se passe de la meilleure façon possible.
Valérie Césarine en a dit plus sur les process mis en œuvre pour gérer au mieux cette forte affluence.
Nous avons travaillé avec l’ensemble des compagnies aériennes pour, notamment, faciliter les process d’enregistrement, en mettant à disposition de nouvelles zones d’enregistrement. Et nous avons une politique pour inciter l’ensemble des voyageurs à procéder à leur enregistrement en ligne.
Valérie Césarine précise qu’un point critique a été identifié dans tout ce parcours passager : le passage obligé à la police aux frontières et le contrôle des bagages de cabines.
Nous avons travaillé avec les équipes de la police aux frontières et celles en charge de la sûreté pour faire en sorte qu’à cet endroit du parcours, le passage soit amélioré en mettant des espaces plus étendus. Nous avons également étendu la salle d’embarquement.