Elu président du PPDG, Jacques Bangou veut définir les contours d'une collectivité unique
Par Anaelle EDOM
14/11/2016 - 17:06
• Mis à jour le 18/06/2019 - 15:18
Guadeloupe
Désormais dirigé par Jacques Bangou, le PPDG souhaite définir les contours d'une collectivité unique en Guadeloupe. Le parti politique a rappelé sa vocation lors de son 7ème congrès dimanche 13 novembre 2016.
Elu à la présidence du Parti progressiste démocratique guadeloupéen
(PPDG), Jacques Bangou a rappelé "la vocation première"
de son mouvement, dimanche 13 novembre 2016, au cours de son 7ème
congrès.
Selon le maire de Pointe-à-Pitre, l'essence du PPDG repose sur les questions de l'identité et de la responsabilité guadeloupéennes. Le parti veut également être une force de propositions dans le paysage politique actuel.
Presque un an après les dernières élections régionales, le Parti progressiste démocratique guadeloupéen entend, donc, définir les contours d'une assemblée unique.
Les poids lourds du PPDG espèrent aboutir à "ce mode de gouvernance" en invitant "les citoyens, les responsables politiques et les élus guadeloupéens" à la réflexion. "Il nous faut encore affiner les conditions de cette assemblée unique pour qu'il n'y ait pas de dérives présidentielles, pour que l'exécutif n'ait pas tous les pouvoirs", explique Jacques Bangou.
Jacques Bangou qui observe de près le modèle de la commission permanente guyanaise. L'élu donne aussi du grain à moudre avec l'idée de trouver des "équilibres différents à l'intérieur" de ce nouveau mode de gouvernance.
Si le PPDG table sur la mise en place d'une collectivité unique dans l'archipel, c'est parce qu'il estime que certaines communautés d'agglomération ont déjà acquis une forme d'autonomie en s'emparant de pouvoirs décisionnels. "La réalité nous dépasse", assure Jacques Bangou.
Anaëlle Edom avec Ingrid Sénat
@AnaelleE_RCI
Selon le maire de Pointe-à-Pitre, l'essence du PPDG repose sur les questions de l'identité et de la responsabilité guadeloupéennes. Le parti veut également être une force de propositions dans le paysage politique actuel.
Presque un an après les dernières élections régionales, le Parti progressiste démocratique guadeloupéen entend, donc, définir les contours d'une assemblée unique.
Les poids lourds du PPDG espèrent aboutir à "ce mode de gouvernance" en invitant "les citoyens, les responsables politiques et les élus guadeloupéens" à la réflexion. "Il nous faut encore affiner les conditions de cette assemblée unique pour qu'il n'y ait pas de dérives présidentielles, pour que l'exécutif n'ait pas tous les pouvoirs", explique Jacques Bangou.
Jacques Bangou qui observe de près le modèle de la commission permanente guyanaise. L'élu donne aussi du grain à moudre avec l'idée de trouver des "équilibres différents à l'intérieur" de ce nouveau mode de gouvernance.
Si le PPDG table sur la mise en place d'une collectivité unique dans l'archipel, c'est parce qu'il estime que certaines communautés d'agglomération ont déjà acquis une forme d'autonomie en s'emparant de pouvoirs décisionnels. "La réalité nous dépasse", assure Jacques Bangou.
Anaëlle Edom avec Ingrid Sénat
@AnaelleE_RCI