Une lettre ouverte à la Ministre Najat Vallaud-Belkacem pour dénoncer les conditions de scolarisation des enfants à l’école mixte A de Basse-Pointe
Par Sullyvan DAPHNE
21/11/2016 - 17:55
• Mis à jour le 18/06/2019 - 15:17
Martinique
Le collectif de parents de l'école mixte A de Basse-Pointe continue de se mobiliser. Une lettre ouverte pour la Ministre Najat Vallaud-Belkacem a été envoyée afin de dénoncer les conditions de scolarisation des enfants.
Le collectif de parents de l’école mixte A de Basse Pointe continue de se
mobiliser. La raison de leur colère est le comportement violent d'un des
élèves âgé de 8 ans à l'égard de ses camarades.
Sans retour satisfaisant de l’inspectrice et convaincu de ne pas être entendu, le collectif à décider, en dernier recours, d’adresser une lettre ouverte à la Ministre Najat Vallaud-Belkacem pour dénoncer les conditions de scolarisation des enfants.
Cette situation angoisse fortement les parents d'élèves, mais ils ne souhaitent pas l'éviction de l'enfant qu'ils considèrent comme étant handicapé. Les parents d'élèves dénoncent une mauvaise prise en charge de cet élève.
Pour l'un des parents présents dans le collectif,"pour nous parents, c'est une mauvaise prise en charge. Ce sont des scènes assez violentes avec des dommages physiques sur d'autres enfants.
Un autre parent qui est directement impacté par ce problème avec qui je discutais a déposé son enfant à l'école et est parti travailler avec la peur au ventre. On ne peut pas scolariser nos enfants et partir travailler la peur au ventre... "
Sullyvan.D avec Hanna Roseau
Sans retour satisfaisant de l’inspectrice et convaincu de ne pas être entendu, le collectif à décider, en dernier recours, d’adresser une lettre ouverte à la Ministre Najat Vallaud-Belkacem pour dénoncer les conditions de scolarisation des enfants.
Cette situation angoisse fortement les parents d'élèves, mais ils ne souhaitent pas l'éviction de l'enfant qu'ils considèrent comme étant handicapé. Les parents d'élèves dénoncent une mauvaise prise en charge de cet élève.
Pour l'un des parents présents dans le collectif,"pour nous parents, c'est une mauvaise prise en charge. Ce sont des scènes assez violentes avec des dommages physiques sur d'autres enfants.
Un autre parent qui est directement impacté par ce problème avec qui je discutais a déposé son enfant à l'école et est parti travailler avec la peur au ventre. On ne peut pas scolariser nos enfants et partir travailler la peur au ventre... "
Sullyvan.D avec Hanna Roseau