Elles tentent d'introduire de la drogue en prison
Par Rinsy Xieng
23/12/2016 - 16:27
• Mis à jour le 18/06/2019 - 15:16
Guadeloupe
Cinq femmes comparaissaient en urgence ce jeudi devant la juridiction correctionnelle de Pointe-à-Pitre pour avoir tenté de faire passer des stupéfiants en prison. Mercredi matin, ces mères ou compagnes de détenus avaient été ciblées par le chien des gendarmes lors d’une opération au parloir de Fond Sarail. En fonction des quantités et des antécédents judiciaires, elles ont écopé de peines allant de 3 mois assortis du sursis à 6 mois ferme. La plus âgée a 60 ans.
Les opérations de ce type se multiplieront tant que les visiteurs ne
comprendront pas qu’il est interdit d’apporter des produits illicites en
milieu carcéral, le texte de loi ainsi que les sanctions prévues sont
d’ailleurs affichés en gros à l’entrée de tous les établissements
pénitentiaires. Malgré cela, 5 personnes l’ont appris à leurs dépends
mercredi matin.
Souvent des femmes
Toutes des femmes, la plus âgée a 60 ans. Il s’agit comme souvent de mères ou de compagnes de détenus, démasquées grâce notamment à l’équipe cynophile. Dur en effet de tromper un chien entraîné spécialement pour détecter les stupéfiants voire des fois des armes ou de l’argent liquide. Mercredi matin, près de 400 grammes de drogue ont été saisis sur les intéressées. De l’herbe mais aussi un peu de cocaïne, 22 grammes. Par ailleurs 200 euros en espèces ont également été confisqués.
Interdits car convoités
Sur 8 suspects interpellés, 5 ont fait hier l’objet d’une comparution immédiate vu les quantités ou les antécédents. Profil bas à la barre comme souvent, on tente de s’excuser, on a agi sur un coup de tête pour faire plaisir à l’être cher. Sauf que ces comportements sont passibles de poursuites pénales, ce n’est pas un jeu. Ces produits très convoités entraînent toujours des bagarres, violences voir homicides en prison. Les 5 femmes ont écopé de peines allant de 3 mois de prison avec sursis à 6 mois fermes, c’est la sexagénaire qui a écopé de la plus lourde sanction car en état de récidive.
Souvent des femmes
Toutes des femmes, la plus âgée a 60 ans. Il s’agit comme souvent de mères ou de compagnes de détenus, démasquées grâce notamment à l’équipe cynophile. Dur en effet de tromper un chien entraîné spécialement pour détecter les stupéfiants voire des fois des armes ou de l’argent liquide. Mercredi matin, près de 400 grammes de drogue ont été saisis sur les intéressées. De l’herbe mais aussi un peu de cocaïne, 22 grammes. Par ailleurs 200 euros en espèces ont également été confisqués.
Interdits car convoités
Sur 8 suspects interpellés, 5 ont fait hier l’objet d’une comparution immédiate vu les quantités ou les antécédents. Profil bas à la barre comme souvent, on tente de s’excuser, on a agi sur un coup de tête pour faire plaisir à l’être cher. Sauf que ces comportements sont passibles de poursuites pénales, ce n’est pas un jeu. Ces produits très convoités entraînent toujours des bagarres, violences voir homicides en prison. Les 5 femmes ont écopé de peines allant de 3 mois de prison avec sursis à 6 mois fermes, c’est la sexagénaire qui a écopé de la plus lourde sanction car en état de récidive.