Un tiers des Guadeloupéens sont en surpoids
Par Anaelle EDOM
26/01/2017 - 22:49
• Mis à jour le 18/06/2019 - 15:15
Guadeloupe
L’observatoire de la santé de la Guadeloupe met en lumière les problème de surcharge pondérale. Un tiers des Guadeloupéens sont en situations de surpoids. Mais, les femmes restent les plus touchées par cette problématique de santé.
Un tiers des Guadeloupéens sont en situation de surcharge pondérale,
selon l'étude Kannari. Pour cette étude deux indicateurs ont été
utilisés. Il s'agit de l'Indice de masse corporel et l'obésité
abdominale.
Résultats des courses ? Les femmes sont plus nombreuses à être en situation de surpoids dans notre département. En outre, plus l’âge augmente plus des cas de surcharge pondérale sont observés.
L’enquête Kannari fait également un lien avec le niveau de diplôme. Plus il est faible, plus la probabilité de surcharge pondérale est grande. Il en est de même pour les bénéficiaires de minimas sociaux.
La surcharge pondérale n'est sans conséquence dans notre archipel. Il y a risque accru de diabète et de maladies cardiovasculaires pour près de la moitié des Guadeloupéens.
Pour l’Observatoire de la santé de la Guadeloupe, il est nécessaire d’agir sur la perception des Guadeloupéens sur leur corpulence. La moitié des personnes en surcharge pondérale ne se perçoivent pas comme telles. Elles pensent avoir une corpulence normale.
D'où la nécessité de renforcer les actions de prévention de la santé, d'harmoniser et de rendre plus lisible le parcours de soin des personnes souffrant d’obésité.
Anaëlle Edom et Méven Lemoign
Résultats des courses ? Les femmes sont plus nombreuses à être en situation de surpoids dans notre département. En outre, plus l’âge augmente plus des cas de surcharge pondérale sont observés.
L’enquête Kannari fait également un lien avec le niveau de diplôme. Plus il est faible, plus la probabilité de surcharge pondérale est grande. Il en est de même pour les bénéficiaires de minimas sociaux.
La surcharge pondérale n'est sans conséquence dans notre archipel. Il y a risque accru de diabète et de maladies cardiovasculaires pour près de la moitié des Guadeloupéens.
Pour l’Observatoire de la santé de la Guadeloupe, il est nécessaire d’agir sur la perception des Guadeloupéens sur leur corpulence. La moitié des personnes en surcharge pondérale ne se perçoivent pas comme telles. Elles pensent avoir une corpulence normale.
D'où la nécessité de renforcer les actions de prévention de la santé, d'harmoniser et de rendre plus lisible le parcours de soin des personnes souffrant d’obésité.
Anaëlle Edom et Méven Lemoign