Les biscuits pour bébé seraient-ils cancérigènes ?
Par Stage
20/02/2017 - 12:57
• Mis à jour le 18/06/2019 - 15:15
Martinique
Un nouveau produit du quotidien défraie la chronique. Il s’agit des biscuits pour bébés. Le géant Nestlé est particulièrement visé à travers son produit « Ptit biscuit ».
Après les couches, ce sont à présent les biscuits pour bébés qui suscitent
la polémique.
Le regroupement de consommateurs Sumofus et l’ONG environnementale WECF (women in europe for a common future) affirme que les biscuits pour bébés pourraient être cancérigènes.
Pour avancer de tels propos, le groupement dénonce des taux d’acrylamide supérieurs aux normes imposées par la commission européenne relevés sur plusieurs produits. Il présenterait donc un risque pour les jeunes consommateurs. L’Acrylamide est une substance chimique qui se forme naturellement lors de la cuisson.
Au cœur de la polémique on retrouve Nestlé et son produit « Ptit biscuit » qui en contient 226, 1 micro grammes par kg au lieu des 200 autorisés.
Le géant de l’industrie infantile ne comprend pas. Il se dit surpris et se défend : « le produit est conforme aux normes ».
Outre Nestlé les marques Carrefour et Picot sont aussi mises en causes.
Depuis les conclusions du regroupement de consommateurs, les articles visés ont été retirés des rayons.
L’Agence Française de Sécurité des Aliments (AFSA) souligne que si le risque n’est pas confirmé, l’exposition à cette substance reste une préoccupation sanitaire.
Le regroupement de consommateurs Sumofus et l’ONG environnementale WECF (women in europe for a common future) affirme que les biscuits pour bébés pourraient être cancérigènes.
Pour avancer de tels propos, le groupement dénonce des taux d’acrylamide supérieurs aux normes imposées par la commission européenne relevés sur plusieurs produits. Il présenterait donc un risque pour les jeunes consommateurs. L’Acrylamide est une substance chimique qui se forme naturellement lors de la cuisson.
Au cœur de la polémique on retrouve Nestlé et son produit « Ptit biscuit » qui en contient 226, 1 micro grammes par kg au lieu des 200 autorisés.
Le géant de l’industrie infantile ne comprend pas. Il se dit surpris et se défend : « le produit est conforme aux normes ».
Outre Nestlé les marques Carrefour et Picot sont aussi mises en causes.
Depuis les conclusions du regroupement de consommateurs, les articles visés ont été retirés des rayons.
L’Agence Française de Sécurité des Aliments (AFSA) souligne que si le risque n’est pas confirmé, l’exposition à cette substance reste une préoccupation sanitaire.