Collégien blessé: deux suspects auditionnés
Par Rinsy Xieng
14/03/2017 - 18:03
• Mis à jour le 18/06/2019 - 15:13
Guadeloupe
Deux jeunes dont un mineur sont actuellement auditionnés après la fusillade qui a éclaté lundi midi devant le collège Germain-Saint-Ruff de Capesterre-Belle-Eau. Ils ont été interpellés par les services de police mais nieraient tout en bloc… On ignore donc le raisons de ces coups de feu. Des investigations sont en cours afin d’en savoir plus. Rappelons qu’un élève de 11 ans, étranger à l’affaire, avait été blessé par balles. Une cellule d'aide psychologique a été mis en place après cette agression.
L’enquête se poursuit, les policiers tentent d’en savoir plus et surtout
de confondre les deux suspects interpellés depuis les faits. En garde à
vue, les deux jeunes dont un mineur de 17 ans nient leur implication dans
cette fusillade. Il s’agit donc d’étayer les soupçons qui pèsent sur eux.
Les investigations sont menées par le commissariat du bourg de la commune.
Concernant le collégien de 11 ans, ses jours ne sont pas en danger. Victime collatérale de cette violence aveugle, il a heureusement été pris en charge rapidement par des témoins. Pour rappel, l’élève de 6ème qui sortait des cours en milieu de journée avait été atteint par des plombs au bras, aux jambes et au bas ventre. Evacué vers le CHU, il se remet lentement de ses blessures.
Les tirs auraient pu faire de plus gros dégâts, qui plus est aux abords d’un établissement scolaire, devant des enfants qui n’ont rien demandé et qui se retrouvent au milieu de différend entre bandes. « Des actes inqualifiables et inconscients qui trop souvent atteignent la vie d'innocents sur fond de règlements superfétatoires.» a tenu a souligné dès le président de Région, Ary Chalus.
Notez qu’une cellule de soutien a été mis en place par les équipes pédagogiques. Marie-Claire Gérard en charge de ce dispositif:
Concernant le collégien de 11 ans, ses jours ne sont pas en danger. Victime collatérale de cette violence aveugle, il a heureusement été pris en charge rapidement par des témoins. Pour rappel, l’élève de 6ème qui sortait des cours en milieu de journée avait été atteint par des plombs au bras, aux jambes et au bas ventre. Evacué vers le CHU, il se remet lentement de ses blessures.
Les tirs auraient pu faire de plus gros dégâts, qui plus est aux abords d’un établissement scolaire, devant des enfants qui n’ont rien demandé et qui se retrouvent au milieu de différend entre bandes. « Des actes inqualifiables et inconscients qui trop souvent atteignent la vie d'innocents sur fond de règlements superfétatoires.» a tenu a souligné dès le président de Région, Ary Chalus.
Notez qu’une cellule de soutien a été mis en place par les équipes pédagogiques. Marie-Claire Gérard en charge de ce dispositif: