Exercice « EU Richter » : les fouilles commencent
Par Stage
23/03/2017 - 23:40
• Mis à jour le 18/06/2019 - 15:13
Martinique
L’exercice « EU Richter » se poursuit. Après avoir établi un premier bilan, les secouristes fouillent les décombres à la recherche de survivants. Des pompiers martiniquais, guadeloupéens et même espagnols sont mis à l’épreuve durant deux jours, les 23 et 24 mars 2017.
Les deux premiers jours de l’exercice « EU Richter » ont été consacrés à
la cellule de crise post catastrophe. Une cellule grâce à laquelle un
premier bilan a été effectué, de même que les premiers sauvetages.
Depuis ce jeudi 23 mars, l’exercice est passé dans sa phase d’opérations sur le terrain. Les fouilles commencent, à la recherche de survivants.
Une centaine de sapeurs pompiers martiniquais, guyanais, mais aussi espagnols sont mobilisés jusqu'à jeudi 24 mars 2017 à l'ancien hôpital du Lamentin. Durant deux jours, ils vont tenter de retrouver les victimes ensevelies ou coincées sous les gravas de trois bâtiments effondrés.
© Peggy Saint-Ville
Afin d’optimiser les recherches ils se sont partagés en trois groupes La technologie vient aussi à leur secours. Ils sont en effet armés de caméras de recherches, de perceuses, de tronçonneuses.
Cet exercice en situation réelle est particulièrement éprouvant pour Jérémy, sauveteur déblayeur, pour Roger, chef d’unité et pour le lieutenant José Gourpil.
© Peggy Saint-Ville
© Peggy Saint-Ville
© Peggy Saint-Ville © Peggy Saint-Ville
© Peggy Saint-Ville
© Peggy Saint-Ville © Peggy Saint-Ville
© Peggy Saint-Ville
© Peggy Saint-Ville
© Peggy Saint-Ville
© Peggy Saint-Ville
Xavier Chevalier et Peggy Saint-Ville
Depuis ce jeudi 23 mars, l’exercice est passé dans sa phase d’opérations sur le terrain. Les fouilles commencent, à la recherche de survivants.
Une centaine de sapeurs pompiers martiniquais, guyanais, mais aussi espagnols sont mobilisés jusqu'à jeudi 24 mars 2017 à l'ancien hôpital du Lamentin. Durant deux jours, ils vont tenter de retrouver les victimes ensevelies ou coincées sous les gravas de trois bâtiments effondrés.
© Peggy Saint-Ville
Afin d’optimiser les recherches ils se sont partagés en trois groupes La technologie vient aussi à leur secours. Ils sont en effet armés de caméras de recherches, de perceuses, de tronçonneuses.
Cet exercice en situation réelle est particulièrement éprouvant pour Jérémy, sauveteur déblayeur, pour Roger, chef d’unité et pour le lieutenant José Gourpil.
© Peggy Saint-Ville
© Peggy Saint-Ville
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© Peggy Saint-Ville
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© Peggy Saint-Ville
© Peggy Saint-Ville
© Peggy Saint-Ville
Xavier Chevalier et Peggy Saint-Ville