Grève illimitée des médecins urgentistes de Martinique
Par Stage
20/03/2017 - 13:22
• Mis à jour le 18/06/2019 - 14:53
Martinique
Les médecins urgentistes de Martinique sont en grève illimitée. Ils estiment être usés, fatigués, désabusés et proches du burn-out.
L'association des médecins urgentistes de France section Martinique
appelle à un mouvement de grève illimitée ce lundi 20 mars 2017.
Les médecins urgentistes du centre hospitalier Pierre Zobda Quitman et de Trinité sont, d’après leurs dires, au bord du burn-out. Ils se disent usés, fatigués et désabusés.
Leurs revendications sont purement locales. Ils demandent à leur direction des renforts humains pour faire face à la hausse de l'activité et une meilleure prise en charge des patients qui parfois, passent des heures sur un brancard, dans les couloirs des urgences.
Pierre Brihier, médecin urgentiste, porte parole des médecins en grève, affilié à l’AMUF l'association des médecins urgentistes de France.
Les urgentistes devraient être rejoints par une intersyndicale CGTM, FO, SASM représentant le personnel soignant et les infirmiers. Leurs revendications portent sur les effectifs, le matériel, la sécurité aux urgences ou encore l'insuffisance de collation pour les patients.
Xavier Chevalier et Pascal Michaux
Les médecins urgentistes du centre hospitalier Pierre Zobda Quitman et de Trinité sont, d’après leurs dires, au bord du burn-out. Ils se disent usés, fatigués et désabusés.
Leurs revendications sont purement locales. Ils demandent à leur direction des renforts humains pour faire face à la hausse de l'activité et une meilleure prise en charge des patients qui parfois, passent des heures sur un brancard, dans les couloirs des urgences.
Pierre Brihier, médecin urgentiste, porte parole des médecins en grève, affilié à l’AMUF l'association des médecins urgentistes de France.
Les urgentistes devraient être rejoints par une intersyndicale CGTM, FO, SASM représentant le personnel soignant et les infirmiers. Leurs revendications portent sur les effectifs, le matériel, la sécurité aux urgences ou encore l'insuffisance de collation pour les patients.
Xavier Chevalier et Pascal Michaux