Une formation de pilote de drones en Martinique
Par Stage
29/03/2017 - 18:41
• Mis à jour le 18/06/2019 - 14:53
Martinique
Pour la première fois en Martinique se déroule une formation pour devenir pilote de drones professionnels. Elle dure deux semaines, une semaine théorique et l’autre pratique. La loi est très stricte et particulièrement méconnue pour les pilotes qui ne disposent pas de formations.
Depuis le 20 mars 2017 se déroule en Martinique, à l’initiative de la
société DM Drones, une formation pour devenir pilote de drones
professionnels.
Elle se déroule en deux parties, chacune d'une semaine. Une première théorique et la seconde pratique.
La formation coûte 4 000 euros.
A l’issue de celle-ci, le candidat obtient un brevet théorique ULM (ultra-léger motorisé) obligatoire pour devenir opérateur pilote de drone civil et une déclaration de compétence avec attestation de formation.
Le nouveau pilote est également inscrit auprès de la Direction Générale de l’Aviation Civile (DGAC).
Mardi 28 mars 2017, la formation pratique se déroulait à Château Gaillard aux Trois-Ilets. Les onze stagiaires de cette toute première session de formation ont mis en pratique les connaissances acquises lors de la semaine de théorie .
Le tout premier examen aura lieu vendredi 31 mars 2017, un autre mardi 04 avril 2017.
Si vous êtes intéressés par cette formation, une nouvelle session aura lieu en juillet.
Anicet Souquet travaille dans le milieu de la sécurité, cette formation est essentielle.
Selon David Fanfarre, directeur de DM Drones les drones professionnels peuvent offrir de nombreuses possibilités en termes de débouchés. Allant de la prise de vue artistique en passant par l’inspection de toiture ou encore de la pulvérisation dans le domaine agricole.
L’utilisation de drones professionnels est extrêmement légiférée mais mal connue. Il est interdit par exemple de survoler des personnes, de voler de nuit, il y a une altitude limite.
La loi prévoit une peine maximale de six mois, une amende pouvant aller jusqu'à 15 000 € pour un survol par maladresse ou négligence. Peine aggravée à un an et 45 000 € d’amende en cas de survol d’une zone interdite, ainsi que la possibilité de confisquer l’aéronef.
Il n’y a en revanche pas besoin de licence pour les drones de loisirs de moins de huit cent grammes.
© Clara Vincent Xavier Chevalier et Clara Vincent
Elle se déroule en deux parties, chacune d'une semaine. Une première théorique et la seconde pratique.
La formation coûte 4 000 euros.
A l’issue de celle-ci, le candidat obtient un brevet théorique ULM (ultra-léger motorisé) obligatoire pour devenir opérateur pilote de drone civil et une déclaration de compétence avec attestation de formation.
Le nouveau pilote est également inscrit auprès de la Direction Générale de l’Aviation Civile (DGAC).
Mardi 28 mars 2017, la formation pratique se déroulait à Château Gaillard aux Trois-Ilets. Les onze stagiaires de cette toute première session de formation ont mis en pratique les connaissances acquises lors de la semaine de théorie .
Le tout premier examen aura lieu vendredi 31 mars 2017, un autre mardi 04 avril 2017.
Si vous êtes intéressés par cette formation, une nouvelle session aura lieu en juillet.
Anicet Souquet travaille dans le milieu de la sécurité, cette formation est essentielle.
Selon David Fanfarre, directeur de DM Drones les drones professionnels peuvent offrir de nombreuses possibilités en termes de débouchés. Allant de la prise de vue artistique en passant par l’inspection de toiture ou encore de la pulvérisation dans le domaine agricole.
L’utilisation de drones professionnels est extrêmement légiférée mais mal connue. Il est interdit par exemple de survoler des personnes, de voler de nuit, il y a une altitude limite.
La loi prévoit une peine maximale de six mois, une amende pouvant aller jusqu'à 15 000 € pour un survol par maladresse ou négligence. Peine aggravée à un an et 45 000 € d’amende en cas de survol d’une zone interdite, ainsi que la possibilité de confisquer l’aéronef.
Il n’y a en revanche pas besoin de licence pour les drones de loisirs de moins de huit cent grammes.
© Clara Vincent Xavier Chevalier et Clara Vincent