Hervé Deluge jugé après son geste contre Tropiques Atrium
Par Stage
30/03/2017 - 22:53
• Mis à jour le 18/06/2019 - 14:53
Martinique
Le 13 février 2017, Hervé Deluge défonçait l’entrée de Tropiques Atrium. Le comédien et metteur en scène a été jugé par le tribunal correctionnel mercredi 29 mars 2017. L’artiste devrait échapper à la prison mais son geste ne restera pas sans conséquences.
Hervé Deluge était jugé mercredi 29 mars 2017 par le tribunal
correctionnel.
Le comédien et metteur en scène devrait échapper à la prison ferme, mais pas à une condamnation.
Dix-huit mois de prison avec sursis et une mise à l’épreuve ont été requis à son encontre, assortie d’une interdiction de rentrer en contact avec Hassane Kouyaté et le responsable cinéma de Tropiques Atrium Steeve Zébina pendant un an et demi.
De plus, il n'a pas le droit de repasser le permis de conduire pendant un an et son pick-up reste confisqué.
Les faits qui lui sont reprochés remontent au lundi 13 février 2017. L’artiste avait foncé avec son pick-up sur la façade d’entrée de Tropiques Atrium, finissant sa course au bas des escaliers.
De nombreux artistes soutiennent Hervé Deluge comme la comédienne Suzy Singa. Elle estime que la relaxe réclamée par la défense est légitime.
© Peggy Saint-Ville
Xavier Chevalier et Yvonne Guilon
Le comédien et metteur en scène devrait échapper à la prison ferme, mais pas à une condamnation.
Dix-huit mois de prison avec sursis et une mise à l’épreuve ont été requis à son encontre, assortie d’une interdiction de rentrer en contact avec Hassane Kouyaté et le responsable cinéma de Tropiques Atrium Steeve Zébina pendant un an et demi.
De plus, il n'a pas le droit de repasser le permis de conduire pendant un an et son pick-up reste confisqué.
Les faits qui lui sont reprochés remontent au lundi 13 février 2017. L’artiste avait foncé avec son pick-up sur la façade d’entrée de Tropiques Atrium, finissant sa course au bas des escaliers.
De nombreux artistes soutiennent Hervé Deluge comme la comédienne Suzy Singa. Elle estime que la relaxe réclamée par la défense est légitime.
© Peggy Saint-Ville
Xavier Chevalier et Yvonne Guilon