Près de 6000 participantes au Ladies Break Festival !
Le festival 100% féminin a drainé une foule importante ce dimanche (9 juillet) dès 10h sur le site de l’Apaloos’Arena, au François.
La seconde édition du Ladies Break Festival a fait le plein hier à l’Apaloosa au François. Près de 6000 participantes ont pris part à ce rendez-vous 100% féminin.
Le soir, les têtes d’affiche comme la chanteuse Stony, le Martiniquais X-Man ou le jamaïcain Konshens ont offert un beau show face à un public survolté.
Les festivités ont débuté dès 10 heures autour des nombreux exposants d’articles de mode et de bien-être. Les nombreuses clientes étaient, semble-t-il, prêtes à dépenser pour se faire plaisir. Séverine Moustin de S Cosmétics et Cédric Samot , gérant de Gold Premium, dressent un bilan positif de leur participation.
« Cette édition a été beaucoup plus qualitative, très bien organisée,bien ficelée, pour les exposants en tout cas. Les femmes étaient plus nombreuses que l’an dernière, indique Séverine. C’est vrai que ce n’est pas forcément évident de dire à des festivalières, « venez, on est en mode shopping, allez-y ». Nous avons proposé des tarifs adaptés pour que les breakeuses puissent tranquillement préparer les événements à venir, la Mercury, le Tour des Yoles… »
« Enorme en terme d'organisation »
Pour Cédric aussi, le « bilan est plus que positif ». « On a eu un public assez cosmopolite, de tous les âges, on ne s’attendait pas à autant de monde, surtout que nous sommes sur un produit assez nouveau, le CBD. Elles étaient présentes, curieuses »
Entre la première et la seconde édition, les nombre de participantes a doublé. S’amuser entre femmes, la formule fait recette, comme l’expliquent les festivalières.
L’une d’elles confie « être déjà venue l’année dernière ». « Je reviens cette année car nous ne sommes qu’entre femmes. On peut se permettre plein de choses qu’on ne pourrait pas faire avec le compagnon à côté »
Pour une autre, « c’est énorme en termes d’organisation, de moyens, de budget, de respect du public et des artistes. Je vis à Saint-Martin où on a de gros événements mais celui-là n’a rien à envier aux événements de New-York ou d’Atlanta auxquels j’ai déjà pu participer. C’est vraiment lourd ».
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