All Inclusive : tout sur le tournage
Le film "All Inclusive" se tourne depuis le mois de juin et jusqu’à mi-juillet en Guadeloupe. De Sainte-Anne à la Basse-Terre, c’est l’histoire d’un groupe de vacanciers, en voyage organisé, qui parcourt l’archipel. La quasi-totalité du film se tourne en Guadeloupe. Un tournage de 7 semaines au total.
Il reste encore deux semaines de tournage en Guadeloupe. Ce lundi, l’équipe d’une centaine de personnes (dont la moitié installée en Guadeloupe) s’était installée route de la traversée, au niveau de la cascade aux écrevisses.
"All Inclusive" est une grosse production française, avec Franck Dubosc, Josiane Balasko, Thierry Lhermite, François-Xavier Demaison, et un budget très conséquent : 15 millions d’euros, dont 4 millions dépensés en Guadeloupe, 1 200 cachets de figuration, toujours en Guadeloupe (1 cachet = 1 jour de tournage pour un figurant) avec « des scènes à 120 figurants d’un seul coup », explique l’un des producteurs, Vivien Aslanian.
Selon lui, la Guadeloupe était le cadre idéal et « on ne s’est pas trompé » se réjouit-il. Il salue « un excellent accueil » et « ça se passe très bien ».
Même enthousiasme du côté de Jonathan Robert, venu directement de Montréal pour jouer le rôle de Serge « le canadien un peu space toujours en train de danser, toujours un peu défoncé aussi », explique le comédien. Jonathan Robert salue « le charme des gens » car « tout est simple, tout est relaxe ici », explique-t-il en souriant.
Le "vrai souci" sargasses
Seul bémol : les sargasses. Lors du tournage sur la plage à Sainte-Anne, «ça a été un vrai souci», reconnaît le producteur, car «chaque jour, des engins loués par la production ramassaient 10 à 15 tonnes d’algues » afin de garder intact le paysage de carte postale. Vivien Aslanian reconnaît avoir « pris conscience » de ce qu’il qualifie de « catastrophe naturelle ».
Reportage sur le tournage du film All Inclusive :