Pierre Marvens, porte parole de l’office de la protection du citoyen en Haïti, invité de la rédaction.
Comme tous les jeudis, l'invité de la rédaction se consacre à la Caraïbe. Cette semaine, Jean-Marc Pulvar s'est intéressé à la crise politique en Haïti.
Il y a trois mois Haïti se réveillait dans une grande désolation. Jovenel Moïse, son président, était assassiné à son domicile, son épouse Martine était blessée et transférée dans un hôpital de Miami.
Trois mois après, l’enquête a permis d’interpeller des mercenaires colombiens, des américains d’origine Haïtienne et des policiers en charge de sa sécurité.
La justice espère mettre la main sur les commanditaires de l’opération. Une enquête qui a du mal à avancer. Hier, l’office de la protection du citoyen est revenu sur ce dossier et sur le climat d’insécurité en Haïti.
Dans le même temps, Martine Moïse, l’épouse de l’ancien président était entendue par le juge en charge de ce dossier Jovenel.
Pierre Marvens, porte parole de l’office de la protection du citoyen en Haïti, a répondu à Jean-Marc Pulvar :