La Martinique se dote d’un nouvel outil de gestion des crises avec le projet Interreg “Periscopa”

Le lancement a réuni, ce lundi 8 décembre, l’ensemble des partenaires : la ville de Schoelcher, le CHU de Martinique, le Carbet des sciences, les forces armées, les associations de chercheurs AREBIO et ARUMIC, le Parc naturel régional de Martinique (PNRM) et la fondation Vallé del Lili de Colombie.

Plus d’un millions d’euros

Financé à hauteur de 1,1 million d’euros, le projet Periscopa se déploiera sur deux ans. Durant cette période, les acteurs impliqués travailleront autour de quatre grands ateliers destinés à produire des données, élaborer des formations et développer des outils capables de renforcer la gestion des crises environnementales.

Clarisse Contaret-Joachim, maître de conférences et cheffe du projet Periscopa, a détaillé les grands axes sur lesquels vont se concentrer les travaux.

Schoelcher a choisi de s’associer pleinement au projet, notamment par son expérience en matière de participation citoyenne selon Marie Garon, adjointe au maire.

La plus-value, c'est de pouvoir nous engager dans cette expérience d'anticipation de gestion des crises. Je crois que nous avons aussi une habitude de participation citoyenne, ce qui va nous faciliter la vie puisqu'il s'agit bien, pour Schoelcher, de faire participer les citoyens à ces anticipations, à ces expérimentations de crise.