À Genipa, Miss France fait rêver les petites filles

Les yeux plein d’étoiles, une petite fille trépigne dans l’espoir de partager un moment avec celle qui est devenue un exemple pour elles. Quelques mots pleins d’attention et une bise plus tard, Maï-Lahn est encore sur un nuage.  

Elle m’a dit que j’avais un très joli prénom. Je suis fière. Depuis mes 6 ans j’ai envie de me présenter. D’abord à Miss France, puis à Miss Monde. C’est un rêve de petite fille cette élection.

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L’enchantement agit aussi sur les adultes, heureux de voir la manière dont la première Miss France originaire de la Martinique vit son élection. Daniella : 

Elle est belle et en plus de cela, quand on parle avec elle, on voit qu’elle est humble. Je suis très fière de cette Miss. Tout comme la Guadeloupe a eu Véronique de la Cruz, nous aussi, on se languissait d’avoir une Miss comme Angélique.

Sentiments partagés

Pour Angélique Angani-Filopon qui revient d’une longue campagne, qui l’a notamment menée au Canada, ce retour chez elle est une bouffée d’oxygène.

En marge des rencontres avec le public, elle compte bien passer du temps en famille.

Ces moments sont importants et je suis heureuse car j’ai un peu plus de temps pour parler et rencontrer les gens. À côté de cela je vais aussi me reconnecter avec ma famille basée ici. Ça fait toujours autant de bien.

Auprès de son public, elle continue de porter les messages qui lui tiennent à coeur, d’autant plus qu’elle assume ce rôle de modèle pour les petites filles de l’île.

Je veux vraiment dire qu’il est important de rester soi-même. Ce conseil peut paraître un peu simplet au premier abord, mais c’est fondamental. Défaites-vous de l’image des paillettes, c’est plus profond que cela, il y a un vrai but derrière ce rôle.

√ Angélique Angarni-Filopon continue les dédicaces ce jeudi (10 avril), cette fois au centre commercial “La Galleria”.