Bruno Nestor Azérot demande la reconnaissance de l'état de catastrophe naturelle pour les sargasses
Par Karl LORAND
18/03/2015 - 13:01
• Mis à jour le 18/06/2019 - 15:38
Martinique
Le député maire Bruno Nestor Azérot a demandé ce mardi que l'état de catastrophe naturelle soit reconnu face à l'invasion de sargasses qui sévit sur de nombreuses côtes en Martinique.
Bruno-Nestor Azérot est intervenu dans le cadre du débat sur la
biodiversité - mardi matin à la Tribune de l'Assemblée Nationale - afin de
demander que l’état de catastrophe naturelle soit déclaré en Martinique
par rapport aux algues sargasses.
Le député maire de Sainte-Marie a profité de la séance de travail au Parlement pour évoquer les lourdes conséquences de ce phénomène et espére obtenir rapidement des mesures concrètes.
Les communes impuissantes face à ce fléau
Il est vrai que les communes n’ont pas toujours été en mesure de faire face à ce fléau et le dispositif de catastrophe naturelle pourrait être un moyen qui permettrait de lutter de manière efficace contre ce phénomène. Bruno Nestor Azérot maire d’une ville côtière en est convaincu, il a donc saisi l’opportunité de la séance de travail au parlement hier mardi pour interpeller le gouvernement. "J'ai fait comprendre à madame la ministre que les collectivités n'ont pas les moyens". a indiqué le député maire.
Audrey Ollon et Jean-Marc Pulvar
Le député maire de Sainte-Marie a profité de la séance de travail au Parlement pour évoquer les lourdes conséquences de ce phénomène et espére obtenir rapidement des mesures concrètes.
Les communes impuissantes face à ce fléau
Il est vrai que les communes n’ont pas toujours été en mesure de faire face à ce fléau et le dispositif de catastrophe naturelle pourrait être un moyen qui permettrait de lutter de manière efficace contre ce phénomène. Bruno Nestor Azérot maire d’une ville côtière en est convaincu, il a donc saisi l’opportunité de la séance de travail au parlement hier mardi pour interpeller le gouvernement. "J'ai fait comprendre à madame la ministre que les collectivités n'ont pas les moyens". a indiqué le député maire.
Audrey Ollon et Jean-Marc Pulvar
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