La saison cyclonique 2016 s’annonce plutôt active
Par Stage
31/05/2016 - 15:56
• Mis à jour le 18/06/2019 - 15:21
Martinique
Selon les prévisions, l’activité cyclonique pour la saison de juin-novembre 2016 sera supérieure par rapport à la moyenne des années précédentes. Mais, il est impossible de dire où les phénomènes auront lieu sur l’Atlantique.
Entre 12 et 15 phénomènes et entre 7 et 9 ouragans ont été nommé
vraisemblables sur le bassin atlantique pour la saison cyclonique 2016.
« On ne peut pas dire si ce sera sur les Etats-Unis, sur les Grandes Antilles ou les Petites Antilles et notre mot d’ordre depuis des années que la préparation soit la même quelle que soit l’activité prévue. On se rappelle de Dean en 2007, l’année qui n’était pas du tout active, mais on a eu ce phénomène-là. Par contre, en 2005, l’année de tous les cyclones, où on a dépassé l’alphabet et on ne savait pas comment les nommer, il y avait rien sur les Antilles », selon Jean-Noel Degrasse, responsable Météo France Martinique.
Les cyclones circulent habituellement de juin au novembre sur l’Atlantique. Cette année l’alternance de cycles des phénomènes El Niño et la Niña influe fortement sur la bassin Atlantique. Le premier réchauffe la planète tandis que le deuxième la refroidit ce qui relance l’activité cyclonique.
Veranika Chyhir et Sandrine Huillet
« On ne peut pas dire si ce sera sur les Etats-Unis, sur les Grandes Antilles ou les Petites Antilles et notre mot d’ordre depuis des années que la préparation soit la même quelle que soit l’activité prévue. On se rappelle de Dean en 2007, l’année qui n’était pas du tout active, mais on a eu ce phénomène-là. Par contre, en 2005, l’année de tous les cyclones, où on a dépassé l’alphabet et on ne savait pas comment les nommer, il y avait rien sur les Antilles », selon Jean-Noel Degrasse, responsable Météo France Martinique.
Les cyclones circulent habituellement de juin au novembre sur l’Atlantique. Cette année l’alternance de cycles des phénomènes El Niño et la Niña influe fortement sur la bassin Atlantique. Le premier réchauffe la planète tandis que le deuxième la refroidit ce qui relance l’activité cyclonique.
Veranika Chyhir et Sandrine Huillet
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