Barber City a rouvert ses portes !
Par Karl LORAND
06/11/2015 - 18:17
• Mis à jour le 18/06/2019 - 15:29
Martinique
Le salon de coiffure Barber City qui a été le théâtre d'un drame en début de semaine et qui est resté fermé durant deux jours a de nouveau ouvert ses portes ce vendredi matin, les salariés ont pu accueillir les clients qui ont répondu présents.
En ce vendredi pluvieux, il n'y a plus aucune trace du drame qui s’est
joué dans le salon mardi soir. Les employés ont repris leur poste dès 8h30
même si le traumatisme lui est toujours là ."On a tendance à
surveiller dehors, à regarder quand quelqu'un rentre..." explique
t-il.
Les clients, eux, retrouvent également leurs habitudes et il n'est pas question que ce fait divers les freinent."Je suis un client habituel et aujourd'hui je suis venu comme d'habitude pour me faire coiffer ! Il faut venir soutenir les employés afin qu'ils repartent d'un bon pied" insiste t-il.
Mickael Marival, le gérant du Barber City prévoit tout de même de renforcer la sécurité dans son salon."C'est une priorité ! Pour le personnel et la clientèle... Je vais investir sur un système de sécurité, on ne sait jamais ! On pourra travailler dans de meilleures conditions", a t-il indiqué.
Concernant l'avenir, le gérant est plutôt confiant et selon lui ce fait divers ne devrait pas impacter son activité.
Audrey Ollon et Clara Vincent
Les clients, eux, retrouvent également leurs habitudes et il n'est pas question que ce fait divers les freinent."Je suis un client habituel et aujourd'hui je suis venu comme d'habitude pour me faire coiffer ! Il faut venir soutenir les employés afin qu'ils repartent d'un bon pied" insiste t-il.
Mickael Marival, le gérant du Barber City prévoit tout de même de renforcer la sécurité dans son salon."C'est une priorité ! Pour le personnel et la clientèle... Je vais investir sur un système de sécurité, on ne sait jamais ! On pourra travailler dans de meilleures conditions", a t-il indiqué.
Concernant l'avenir, le gérant est plutôt confiant et selon lui ce fait divers ne devrait pas impacter son activité.
Audrey Ollon et Clara Vincent
