Attentats en France : Paris, le jour d'après ou choses vues et entendues
Par Jean-Philippe LUDON, @jpludonrci
14/11/2015 - 19:59
• Mis à jour le 18/06/2019 - 15:28
Martinique
Au lendemain des fusillades de Paris, la capitale française avait ce samedi 14 novembre 2015, des allures inhabituelles. Choses vues et entendues dans Paris en images et vidéos..
Moins de 24 heures après les attentats qui ont ensanglanté Paris et son
agglomération, faisant plus de 128 morts et des centaines de blessés, la
capitale française avait des allures inhabituelles et contrastées ce
samedi 14 novembre 2015.
Selon notre correspondant permanent à Paris, François Thomas, la matinée restait encore marquée par les stigmates de la nuit d'horreur visibles sur les lieux des fusillades.
Dans un autre arrondissement parisien non directement touché, en l'occurrence dans le quartier de l'Assemblée Nationale, la présence de deux camions de l'armée de terre, celle de militaires armées jusqu'au dent devant les grilles du Palais Bourbon attestaient de la situation d'état d'urgence décrété durant la nuit par le président de la République.
Selon un cafetier du coin interrogé par François Thomas, on n'avait jamais vu cela depuis des lustres. Même lors des attentats du RER B à Saint-Michel en juillet 1995, on n'avait pas vu un tel déploiement de forces militaires dans la capitale.
L'impression semblait être tout autre dans l'après-midi à Paris...Moins de monde dans les rues et pas de bouchons, mais des boutiques ouvertes comme sur les Champs-Elysées comme on peut le voir ci-dessous.
Selon notre correspondant permanent à Paris, François Thomas, la matinée restait encore marquée par les stigmates de la nuit d'horreur visibles sur les lieux des fusillades.
Dans un autre arrondissement parisien non directement touché, en l'occurrence dans le quartier de l'Assemblée Nationale, la présence de deux camions de l'armée de terre, celle de militaires armées jusqu'au dent devant les grilles du Palais Bourbon attestaient de la situation d'état d'urgence décrété durant la nuit par le président de la République.
Selon un cafetier du coin interrogé par François Thomas, on n'avait jamais vu cela depuis des lustres. Même lors des attentats du RER B à Saint-Michel en juillet 1995, on n'avait pas vu un tel déploiement de forces militaires dans la capitale.
L'impression semblait être tout autre dans l'après-midi à Paris...Moins de monde dans les rues et pas de bouchons, mais des boutiques ouvertes comme sur les Champs-Elysées comme on peut le voir ci-dessous.
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