Non-présentation d'enfants : Ingrid Littré est bien en garde à vue et passe la nuit au commissariat

Par 28/07/2025 - 21:52 • Mis à jour le 29/07/2025 - 09:42

L'ex reine de beauté et mannequin Ingrid Littré est entendue depuis ce matin (lundi 28 juillet), 9h25, en garde à vue au commissariat de police du Lamentin. Elle est auditionnée dans le cadre du jugement sur la garde des enfants, dans un contexte conflictuel avec le père, Kevin Valleray, plus connu sous son nom d’artiste Kalash.

    Non-présentation d'enfants : Ingrid Littré est bien en garde à vue et passe la nuit au commissariat

Depuis des années, les deux anciens époux se déchirent. Les tensions sont remontées à la surface ces derniers mois, avec la sortie du livre « Ingrid Littré », sa vérité », où la mère de famille aborde notamment ses relations houleuses avec le père de ses enfants, Kévin Valleray alias Kalash.

Le chanteur a d'ailleurs engagé une procédure judiciaire à ce sujet, dénonçant les propos tenus dans l'ouvrage à son encontre

Lire aussi Ingrid Littré livre « Sa Vérité » sur sa relation avec Kalash

Dans un communiqué ce lundi, Catherine Marceline, son éditrice et ex-avocate, évoque une garde à vue et « une injustice de plus » pour l’ex-mannequin, assurant qu’aucune des plaintes déposées n’a abouti ces 5 dernières années.

Refus de remise des enfants

Selon elle, l’audition de ce lundi est liée à un simple refus d’Ingrid Littré de remettre ses enfants « en dehors des modalités fixées par le jugement de divorce ».

Elle assure que le père des deux enfants de son ex-cliente avait réclamé l'exercice de sa garde avec 9 jours de retard sur le calendrier prévu.

Ce qui, selon la police jointe ce matin, était une audition libre, est donc bien une garde à vue. Et d'ailleurs, comme le confirme Catherine Marceline, Ingrid Littré devrait passer la nuit au commissariat de police du Lamentin, ce lundi soir.

Un appel à rassemblement est lancé ce mardi, à 9h30, devant l'hôtel de police, en soutien à Ingrid Littré.

L'association féministe Culture Egalité a également réagi dans la journée, pour dire « non à une justice discriminante envers les femmes ».

 


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