La CGSS Guadeloupe se satisfait de son année 2020 et se projette sur 2021

Ce mercredi matin, l'heure était au bilan du côté de Providence aux Abymes, ville où se trouve le siège de la Caisse Générale de Sécurité Sociale de Guadeloupe. L'occasion pour l'organisme de rappeler son rôle et ses missions assurées aux côtés des particuliers, des professionnels de santé mais également des entreprises durement impactées durant cette crise sanitaire liée au COVID-19. Moins de cotisations ont été déclarées sur l'année 2020 en Guadeloupe soit environ 150 millions d'euros en moins dans les caisses de la CGSS Guadeloupe, conséquence des dommages collatéraux de la pandémie qui a frappé la planète entière.

Une période durant laquelle la CGSS a dû s'adapter pour répondre au mieux aux nombreuses demandes notamment en terme d'accompagnement et de suivi via son dispositif dédié au COVID-19. Dans l'ensemble, l'heure est à la satisfaction pour la CGSS Guadeloupe, en attendant d'attaquer les chantiers programmés pour 2021.

C'est ce que nous révèle Jean Véron, Directeur de la Caisse Générale de la Sécurité Sociale de Guadeloupe :

Et parmi les dossiers sur lesquels la CGSS a été amenée à intervenir en 2020, il y a bien sûr celui du GIP-RASPEG avec l'imbroglio toujours en cours, autour du maintien ou non de la directrice de la structure Myriam Chollet, à la tête de la structure.

Pour le directeur de la CGSS Guadeloupe, Jean Véron, « l'affaire GIP-RASPEG, c'est l'affaire du GIP-RASPEG. La directrice du GIP-RASPEG a demandé à se mettre en congés de la CGSS pour continuer ses fonctions au GIP-RASPEG. Moi, j'ai fait droit à sa demande de congés. Après sa nomination et son fonctionnement GIP-RASPEG regarde le GIP-RASPEG et ce n'est pas un sujet CGSS, je dirais que ce n'est plus un sujet CGSS. »