Manuel Quibon est l'auteur présumé des coups de feu de Vieux-Fort, dixit le rapport d'enquête
Par Anaelle EDOM
05/04/2016 - 17:52
• Mis à jour le 18/06/2019 - 15:22
Guadeloupe
La première journée du procès des quatre braqueurs présumés originaires de Sainte-Rose a été consacré à entendre le rapport de la directrice d'enquête. De ces deux premières heures d'audience, on retient les larmes d'un des quatre accusés.
Ce lundi 5 avril 2016, à la cour d'assises de Basse-Terre, le rapport de
la directrice d'enquête a été formel. Manuel Quibon est l'auteur présumé
des coups
de feu tirés sur Valentin Jospitre le 2 septembre 2012. La
victime décédée il y a quelques jours avait, d'ailleurs, perdu son bras
droit suite à ce drame.
Deux temps forts ont rythmé l'audience de ce lundi. Entendus séparément lors de l'instruction, les trois autres accusés ont clairement dénoncé Manuel Quibon. Ce dernier étant le seul, du reste, a être placé en détention provisoire. Une mesure qui a été confirmée et prolongée le 14 juin 2014.
A Basse-Terre, les larmes de Karl Cayol, l'un des prévenus ont également marqué cette audience. Dans cette affaire, cet accusé est le moins impliqué. En 2012, il conduisait le véhicule. Pris de remords, il s'est excusé face à la famille de la victime. Il a même salué des proches courageux, venant assister au procès.
L'homme n'a pas pu nier sa part de responsabilité dans le drame de septembre 2012. Il a assumé ses actes présumés et mis en lumière la reponsabilté des autres accusés.
Mais, quel rôle ont joué chacun d'eux au moment des faits présumés ? C'est le nœud que les jurés devront dénouer durant les quatres prochains jours d'audience.
Deux temps forts ont rythmé l'audience de ce lundi. Entendus séparément lors de l'instruction, les trois autres accusés ont clairement dénoncé Manuel Quibon. Ce dernier étant le seul, du reste, a être placé en détention provisoire. Une mesure qui a été confirmée et prolongée le 14 juin 2014.
A Basse-Terre, les larmes de Karl Cayol, l'un des prévenus ont également marqué cette audience. Dans cette affaire, cet accusé est le moins impliqué. En 2012, il conduisait le véhicule. Pris de remords, il s'est excusé face à la famille de la victime. Il a même salué des proches courageux, venant assister au procès.
L'homme n'a pas pu nier sa part de responsabilité dans le drame de septembre 2012. Il a assumé ses actes présumés et mis en lumière la reponsabilté des autres accusés.
Mais, quel rôle ont joué chacun d'eux au moment des faits présumés ? C'est le nœud que les jurés devront dénouer durant les quatres prochains jours d'audience.
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