Reprise du ramassage des ordures ménagères dans les communes de la CANBT et de Cap Excellence
Par Anaelle EDOM
26/01/2017 - 17:52
• Mis à jour le 18/06/2019 - 15:15
Guadeloupe
Le ramassage des ordures ménagères a repris sur les territoires de la communauté d'agglomération du Nord Basse-Terre et de Cap Excellence, suite au déblocage de l'entreprise Rom par décision du tribunal de Pointe-à-Pitre jeudi 26 janvier 2017.
L'accès de la société de ramassage d'ordures ménagères Rom du groupe
Vaïtilingo a été débloqué, ce jeudi 26 janvier 2017, par la gendarmerie du
Moule.
Une décision du tribunal de Pointe-à-Pitre qui intervient suite au référé introduit par la direction de l'entreprise.
Le ramassage des ordures a de fait repris sur les territoires de la Communauté d'agglomération du Nord Basse-Terre et de la communauté d'agglomération Cap Excellence.
Depuis une semaine, les employés du groupe Vaïtilingon ont entamé une grève pour obtenir l'amélioration de leurs conditions de travail et salariale.
Ce qui perturbait fortement, jusqu'à ce jeudi, le ramassage des ordures dans ces agglomérations. Selon Alexis Bevillard, le directeur du cabinet du préfet, il y avait urgence à débloquer la situation. Il s'agissait d'une question de santé publique.
"C'était essentiel pour nous parce que il y a un enjeu de salubrité publique, le préfet s'est coordonné avec l' entreprise pour pouvoir les appuyer dans les opérations de déblocage ", a-t-il expliqué.
Les salariés grévistes restent toutefois mobilisés. Ils comptent également lancer une action judiciaire, selon le syndicat Force Ouvrière.
Anaëlle Edom et Alexandre Giraud
Une décision du tribunal de Pointe-à-Pitre qui intervient suite au référé introduit par la direction de l'entreprise.
Le ramassage des ordures a de fait repris sur les territoires de la Communauté d'agglomération du Nord Basse-Terre et de la communauté d'agglomération Cap Excellence.
Depuis une semaine, les employés du groupe Vaïtilingon ont entamé une grève pour obtenir l'amélioration de leurs conditions de travail et salariale.
Ce qui perturbait fortement, jusqu'à ce jeudi, le ramassage des ordures dans ces agglomérations. Selon Alexis Bevillard, le directeur du cabinet du préfet, il y avait urgence à débloquer la situation. Il s'agissait d'une question de santé publique.
"C'était essentiel pour nous parce que il y a un enjeu de salubrité publique, le préfet s'est coordonné avec l' entreprise pour pouvoir les appuyer dans les opérations de déblocage ", a-t-il expliqué.
Les salariés grévistes restent toutefois mobilisés. Ils comptent également lancer une action judiciaire, selon le syndicat Force Ouvrière.
Anaëlle Edom et Alexandre Giraud
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